Nos principales motivations étaient de savoir :
- Quel était le fonctionnement des marées ?
- Quelles sont les causes et conséquences de ce fonctionnement ?
Nous avons pu constater, dans nos premières recherches, qu'il n'y a pas que des marées océaniques. En effet, il en existe des terrestres et atmosphériques par exemple. Le phénomène des marées est même présent sur les astres, les trous noirs et les galaxies.
Notre étude se focalise donc sur les marées les plus connues : les marées océaniques.
Une marée océanique est un mouvement à allure périodique du niveau de la mer.
Aujourd'hui, les mers et océans représentent :
- 71 % de la surface du globe (soit 360 millions de km2).
- 97 % de l'eau disponible sur terre soit 1320 millions de km3 d'eau de mer + 24 millions de km3 de glace. Il faut savoir que l'eau terrestre ne représente que 3 %, et la vapeur d'eau dans l'atmosphère, un pourcentage infime (...)
[...] Remarque : Il faut savoir que la force de marée étant un terme différentiel, elle est proportionnelle à la variation de la force de gravitation par rapport à la distance donnant un effet proportionnel à (masse du corps attirant) / (distance entre les deux corps)³. C'est cette proportionnalité qui explique que le soleil, bien que beaucoup plus massif que la Lune, ait néanmoins un effet seulement égal à environ 45% de celui de la Lune IV. Expérience : ondes de marée A l'aide d'un moteur, ou d'une autre action mécanique, nous pouvons observer un phénomène de résonnance ( = production d'ondes). La fréquence d'oscillation du moteur permet de recréer le phénomène de création d'ondes marines et d'en recréer ses courants. [...]
[...] Du coup, l'on peut voir qu'il s'exerce un couple de force en A et en S qui s'oppose à la rotation de M. Dans cette figure, la planète tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. On peut vérifier que si la rotation est inversée, change de signe, et le couple de forces de marée s'exerce dans l'autre sens. Ce couple entraîne toujours la planète vers une rotation synchrone Synchronisation d'une planète par effet de marée. Le couple de force s'exerçant en A et S correspond à la somme des forces gravitationnelle et centrifuge. [...]
[...] C'est ainsi que la Lune s'éloigne de la Terre d'environ 4 centimètres par an. La situation inverse peut survenir dans le cas de planètes très proches de leur étoile. Comme les étoiles similaires à notre Soleil tournent sur elles-mêmes lentement en général, elles ont tendance à attirer vers elles des compagnons planétaires très proches. Ce phénomène est très lent, et n'est en général pas pris en compte. Cette migration pourrait néanmoins jouer un rôle crucial pour le devenir de notre Terre. [...]
[...] Ce chiffre est faible mais rentre tout de même dans le cadre des informations à prendre en compte dans la compréhension des séismes VI. Bibliographie Les sources utilisées pour notre rapport sont recensée ci-dessous : - "Vingt milles vies sous la mer" de Lucien Laubier - "Le Dictionnaire des Sciences de la Terre" par l'Encyclopaedia Universalis - "Le grand atlas de la mer" publié chez Albin Michel - "Données économiques maritimes françaises 2001" (Ifremer) - "Atlas de la mer" publié chez Robert Laffont - "La Machine Océan" de Jean-François Minster (Flammarion) - "Océanographie Générale" de Patrick Geistdoerfer (InfoMer) - La collection "Que sais-je - "Annuaire du Bureau des Longitudes" - www.intellego.fr - www.meteofrance.com - Internet : multiples sites 43 VII. [...]
[...] - L'onde de marée est freinée: la profondeur limitée des océans crée un frottement au fond des océans, qui retarde la progression de l'onde. - L'onde de marée peut, dans certains lieux, être amplifiée par résonance: la forme géométrique des bassins océaniques permet plus ou moins bien le développement d'ondes de périodes diurnes de 24 heures ou semi-diurnes de 12 heures (voir chapitre II,2). Certaines configurations permettent une résonance c'est-à-dire une amplification des ondes, d'autres non La rotation de la terre produit les forces de Coriolis qui génèrent des mouvements d'eau dans le sens inverse des aiguilles d'une montre dans l'hémisphère nord et, dans le sens des aiguilles d'une montre dans l'hémisphère sud. [...]
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