Appelé stator (inducteur). C'est un empilage de tôles isolée entre elles et semi-ouvertes qui referment les enroulements statiques (bobinage). Le stator est alimenté par un système triphasé.
Une partie mobile :
Appelé rotor (induit) c'est un empilage de tôles en acier doux. De l'aluminium ou du cuivre en fusion est injectée dans les encoches fermées pour former les barres de la cage d'écureuil. Leurs extrémités sont court-circuitées (rotor à cage ou court circuité). Il existe également les rotor bobiné constituée de trois enroulements alimentée par des bagues (moteurs bobiné ou moteur à bague) (...)
[...] Les figures 2 et 3 sont issues du livre : Electrosystème STI édité chez NATHAN TECHNIQUE Fig 3 rad/s W Nm W A V W Pertes joules rotoriques Pjr Pjs P absorbée rotor bloqué Pertes joules stator Pjs Pjs = r . Pertes fers statoriques Pfs Pfs P absorbée à vide Puissance absorbée Pa U . I. Cos φ Puissance utile Pu = Tu . Ω Pu = Pa - pertes tr/s ou tr/min rad/s En % En % tr/s rad/s tr/s rad/s tr/min tr/s Hz Hz W V MAS 3 ~ U Pertes M.A.S. [...]
[...] Alimentés par le réseau triphasé et sinusoïdal, les trois enroulements statoriques produisent un champ tournant. Loi de Faraday : Lorsque l'on déplace un conducteur dans un champ magnétique de façon à couper des lignes de force, il apparaît une différence de potentiel entre ses extrémités. Le rotor porte des conducteurs formant un circuit fermé sur lui-même (cage d'écureuil). Coupés par le champ tournant statorique ces conducteurs acquièrent des tensions induites, appelées forces électromotrices, qui engendrent des courants induits dans les barres Loi de Lorentz : Si l'on place un conducteur, parcouru par un courant, entre les pôles d'un aimant permanent (ou électroaimant) on constate qu'il est soumis à une force que l'on appelle force électromagnétisme et qui tend à déplacer le conducteur. [...]
[...] GENERALITE Les moteurs asynchrones triphasés sont les machines tournantes employées le plus fréquemment dans l'industrie. Ils possèdent en effet plusieurs avantages : simplicité de fonctionnement et de fabrication, robustesse, prix peu élevé et entretien facile Représentation fonctionnelle : Symbole : CONSTITUTION Le moteur asynchrone est formé de deux parties distinctes : ( Une partie fixe : Appelé stator (inducteur). C'est un empilage de tôles isolée entre elles et semi-ouvertes qui referment les enroulements statiques (bobinage). Le stator est alimenté par un système triphasé ( Une partie mobile : Appelé rotor (induit) C'est un empilage de tôles en acier doux. [...]
[...] Le nombre de pôles est toujours un chiffre paire car un pôle Nord est toujours accompagné d'un pôle Sud. ( VITESSE ANGULAIRE STATORIQUE Ωs ( VITESSE ANGULAIRE ROTORIQUE Ωr ( GLISSEMENT g : Cette grandeur symbolise la différence entre la vitesse du champ tournant et celle du rotor. A vide, c'est à dire, lorsque le moteur n'entraîne aucune charge mécanique le glissement est très faible : moins de BILAN ENERGETIQUE ( PUISSANCE ELECTRIQUE ABSORBEE PA : Les trois enroulements statoriques constituent un récepteur équilibré, qu'ils soient couplés en étoile ou en triangle, on a toujours : ( PUISSANCE MECANIQUE UTILE PU : Cette puissance correspond à la puissance mécanique (valeur nominale) disponible sur l'arbre moteur. [...]
[...] ( PERTES ENERGETIQUES ET RENDEMENT : La puissance électrique fournie au M.A.S. ne se retrouve pas entièrement sur l'arbre moteur sous forme de puissance mécanique. En effet, un certain nombre de phénomène crée des pertes dans le moteur. Entre l'entrée et la sortie de celui-ci on perd de la puissance : Le rendement du moteur est, par définition, le rapport entre le la puissance mécanique fournie à la charge et la puissance électrique fournie au moteur : η = Pu / Pa CARACTERISTIQUE MECANIQUE ( COUPLE UTILE ( Courbe du couple en fonction de la vitesse (moteur à cage) : Le couple développé par un moteur dépend de sa vitesse. [...]
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