Fiche de révision sur les interactions fondamentales de physique (1re scientifique) regroupant les principaux points à connaître et les principales formules.
[...] En revanche, elle est inexistante entre un électron et un nucléon. Leurs portées sont de la dimension du noyau. Interaction et cohésion de la matière : L'interaction gravitationnelle assure la cohésion de la matière à l'échelle astronomique. Exemple : cohésion du système solaire; cohésion des galaxies. L'interaction électromagnétique assure la cohésion de la matière à l'échelle atomique ou humaine. Exemple : cohésion d'un métal, d'une roche; cohésion d'un être vivant. L'interaction forte assure la cohésion de la matière à l'échelle du noyau. Exemple : cohésion des noyaux des atomes. [...]
[...] Particule Electron Proton Neutron Masse me = 10-32 mp = 1,672622 10-27 mn = 1,674927 10-27 Charge, en coulomb (symbole qe- = = -1,6021765 10-19 qp = e = 1,6021765 10-19 qn = 0 Les charges électriques de l'électron et du proton ont même valeur absolue e. Cette valeur e commune est appelée charge électrique élémentaire. Un atome est électriquement neutre. Son diamètre est de l'ordre de 10-10 m et celui de son noyau de l'ordre de 10-15 m. II- Intéraction gravitationnelle : On considère deux corps A et sphériques homogènes ou à répartition sphérique de masse. Ces deux corps, de masses ml et m2, ont pour centres O1 et O2. Ils sont distants de d. [...]
[...] Deux objets quasi-ponctuels A et distants de portent les charges électriques q1et q2. r r Ils exercent l'un sur l'autre des forces F et F de même droite support et de même valeur répulsives si q1 et q2 sont de même signe, attractives si q1 et q2 sont de signes contraires q1 et q2, charges de A et de B d distance AB F valeur commune des forces Page 2 sur 4 Fiches de physique : interactions fondamentales IV- Interaction forte : Entre les nucléons du noyau s'exercent des forces attractives de valeurs environ mille fois plus grandes que celles des forces coulombiennes répulsives. [...]
[...] Quant aux interactions fortes, leurs domaines d'action ne dépassent pas les dimensions d'un noyau d'atome. En conclusion, seules les interactions gravitationnelles sont opérantes à l'échelle astronomique. A l'échelle atomique ou humaine, les interactions gravitationnelles ont des valeurs négligeables devant celles des interactions électromagnétiques ou électromagnétiques. Quant aux interactions fortes, elles sont inopérantes à l'échelle atomique, et à plus forte raison à l'échelle humaine. En conclusion, seules les interactions électromagnétiques sont opérantes à l'échelle atomique ou humaine. A l'échelle du noyau atomique, les valeurs des interactions gravitationnelles et électromagnétiques sont archinégligeables devant celles des interactions fortes. [...]
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