Pharmacie - Santé - Social, pénicilline, pénicilum glocum, Alain Duschène, médicament, nouvelles souches, antibiotique
La pénicilline était et est encore aujourd'hui un médicament incontournable que tout le monde utilisais et utilise encore, C'est « grâce » à des éléments perturbateurs (comme la Seconde Guerre Mondiale et autres) que la pénicilline connais aujourd'hui un tel succès. Ce médicament, bien que très utile, dévoile quelques failles aujourd'hui qui deviennent de plus en plus importantes et alarmantes aux yeux des scientifiques.
[...] Encore aujourd'hui, la pénicilline est très couramment utilisée comme antibiotique en tout genre. Seulement, celle-ci révèle une certaine faiblesse : elle deviens inutile. Les recherches étant constantes et renouvelantes, de nouvelles souches n'ont pas été encore découverte et les bactéries commencent à riposter et à se défendre pour ne pas être éliminé par le traitement : c'est ce qu'on appellera des super-bactéries Mais les recherches afin de trouver de nouvelles souches étant encore en ce moment-même en cours, les scientifiques ne lâchent pas non plus le morceau afin de trouver de nouvelles souches combattantes sous l'appuie des entreprises pharmaceutique. [...]
[...] La Seconde Guerre Mondiale fût l'un des plus gros éléments perturbateurs qu'a connu la pénicilline pour en arriver où elle en en aujourd'hui. Dû à de nombreuses maladies, infections comme les pneumonies et méningites septicémie tuberculose et bien d'autres encore, l'État n'a pas eu d'autre choix que d'investir dans ce nouveau traitement afin de soigner les soldats de toutes ces maladies. La production est passée de 425 millions de doses par mois à millions de doses par mois de 1940 à 1942. Nous pourrions considérer ce changement comme une énorme explosion de l'industrie pharmaceutique et de l'économie. [...]
[...] La pénicilline (ou pénicilum glocum a été découverte en 1897 par le français Alain Duschène. Ce médicament (dont on ne connaissais pas encore les effets miraculeux) fut découvert par pur hasard, lorsque se scientifique français étudiais une moisissure. Faute de moyens économiques, Duschène dû abandonner ses travaux et ses études sur cette même étrange moisissure. C'est seulement quelques années après sa mort, qu'un scientifique anglais du nom de Alexander Fleming repris les précédents travaux de Duschène. Découvrant les réels effets de cette mystérieuse moisissure, il entrepris de faire une longue période de tests sur les animaux de laboratoire de 1928 à 1940. [...]
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