Electrocardiographie, coeur, électrocardiogramme, muscle strié, influences nerveuses influences hormonales, systole, diastole
Le but de ce TP est d'observer et d'expliquer l'activité électrique du cœur à l'aide d'un électrocardiogramme.
Situé dans le médiastin, au niveau de la cage thoracique, le cœur est l'organe central de l'appareil vasculaire, il est formé essentiellement d'un muscle, le myocarde, lequel est entouré d'un sac séreux; le péricarde, et tapissé à l'intérieur par une fine membrane; l'endocarde.
C'est un muscle strié assurant la circulation du sang par un phénomène de pompage via des contractions rythmiques. Le muscle cardiaque est myogénique. Ceci veut dire qu'à la différence du muscle squelettique, qui a besoin d'un stimulus conscient ou réflexe, le muscle cardiaque s'excite lui-même. Les contractions rythmiques se produisent spontanément, bien que leur fréquence puisse être affectée par des influences nerveuses ou hormonales telles l'exercice ou la perception de danger. Il faut savoir que ce sont les cellules se trouvant au niveau du tissu nodal qui sont responsables de cette contraction spontanée et répétitif, ce sont des cellules embryonnaires primitives qui assurent l'automatisme cardiaque et qui permettent d'établir toutes les connexions fonctionnelles qui existent entre oreillette et ventricule, et ces cellules se trouvent au sein même du nœud sinusal ou nœud de Keith et Flack situé dans la paroi supérieure de l'atrium droit.
Le cœur est constitué de deux oreillettes (droite et gauche) ainsi que de deux ventricules. Les oreillettes expulsent le sang vers les ventricules et les ventricules envoie à leur tour le sang vers les artères (systole), il traverse les artérioles passe par les capillaire puis les veinules et les veines. La décontraction (diastole) suit la systole, laissant le temps au sang de s'accumuler dans les oreillettes et le cycle reprend.
[...] Le score de benjamin est de alors que celui de Aurélie est de 19. D'après ce qui a été dit précédemment, Benjamin semble avoir des capacités physiques supérieures à Aurélie, son cœur s'adapte donc mieux à une activité physique. Dans les résultats que nous avons obtenus, il est évident que ce score est biaisé par de nombreux artéfacts, en effet la fréquence cardiaque ne peut pas aller au dessus de 220 cpm. [...]
[...] Nous avons ainsi mesurer la fréquence cardiaque d'un sujet au repos pendant trois minutes. Nous pouvons observer que durant ce délai,celle ci n'est pas régulière. En effet, on observe que la fréquence cardiaque varie ici de 68 à 82 cpm. Interprétation: Quand on parle de fréquence cardiaque on parle en fait de la fréquence ventriculaire. Elle se mesure donc en comptant le nombre de complexes QRS par minute. La fréquence normale est entre 60 et 100 cpm. [...]
[...] En effet la fréquence cardiaque correspond donc au nombre de battement du cœur par minute. Le cœur est donc le siège de phénomènes électriques qui précèdent et déclenchent les phénomènes mécaniques représentés par la contraction et la propulsion du sang qui se réalisent de façon rythmique. Le fonctionnement de cette pompe cardiaque est soumis en permanence à l'action d'un système ralentisseur et accélérateur indépendant de la volonté et qui permet l'adaptation rapide de l'activité cardiaque en fonction des besoins de l'organisme. [...]
[...] RD = P'70 + 2[P''- p = fréquence au repos 10 p'= fréquence pendant l'exercice P''= fréquence pendant la récupération Ce test permet donc de mesurer les performances physiques de individu, plus précisément il s'agit du temps que le cœur met après l'effort à récupérer sa fréquence cardiaque de base ( au repos En effet, un individu qui pratique un sport régulièrement va obtenir une fréquence cardiaque au repos et pendant l'exercice inferieur à un sujet non sportif, cela montre bien que le corps de cet individu s'adapte parfaitement à l'effort, son corps aura besoin d'une quantité d'oxygène moindre et ainsi produire moins acide lactique qu'un non sportif durant l'effort .Cet indice permet donc de fournir des indices sur état de santé des individus et sur les risques cardiovasculaires . D'après les deux tracés obtenus, nous avons le score de benjamin et Aurélie au test Ruffier- Dickson. [...]
[...] C'est le temps qu'il faut à l'influx pour aller du nœud sinusal au ventricule .Ce délai se mesure du début de l'onde P au début du complexe QRS, ce délai renseigne sur l'état du cœur, s'il est trop court ou trop long cela pourrait correspondre donc à des syndromes. Nous avons calculé le délai de l'intervalle QT, qui correspond donc au temps total durant lesquels les ventricules vont se dépolarisés, ce qui correspond donc à la systole. Il débute dès l'excitation des ventricules jusqu'à la fin de leur relaxation. Cette intervalle se mesure du début du complexe QRS jusqu' à la fin de onde T. 2eme expérience Observation : Dans cette partie, nous avons placé deux électrodes au-dessus du diaphragme et une au niveau du flanc droit. [...]
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