Paralysie agitante, maladie de Parkinson, traitement, hypertonie, dopathérapie, Agonistes dopaminergiques, Stimulation Cérébrale Profonde, SCP
C'est en 1817, qu'un médecin généraliste londonien, James Parkinson découvre la maladie. Il décrit les principaux symptômes et l'évolution de la maladie, réunissant différents signes en une entité. A la fin du siècle, la « paralysie agitante » devient donc « la maladie de Parkinson ». En effet, elle provoque chez l'individu atteint des troubles moteurs. Les mouvements du patient sont, rares, lents car difficiles à effectuer. On observe un tremblement de repos, et le corps est recroquevillé sur lui-même.
[...] On distingue 2 types de noyaux reliés au striatum par leurs axones. A9 libère la dopamine dans le striatum dorsal et intervient dans le mouvement volontaire. A10 libère la dopamine dans le striatum ventral qui règle les fonctions cognitives. La dopamine joue sur des neurones récepteurs appelés MSN de 2 types : initie le mouvement inhibe le mouvement Ce message nerveux est ensuite envoyé au noyau sous-‐thalamique, puis au thalamus et enfin au cortex moteur. Ce dernier est au centre d'une boucle motrice comprenant la moelle épinière. [...]
[...] Le patient est sous diprivan (anesthésiant). On commence par faire 2 trous au niveau de la partie frontale du crâne. Puis, on descend 5 électrodes de repérage par le biais d'un canon Il y a une électrode centrale, une intérieure, une postérieure, une interne et une externe. Elles sont tubulaires et contiennent au milieu une électrode d'enregistrement, qui dépasse de 4mm, et autour une électrode de stimulation. L'électrode d'enregistrement enregistre l'activité électrique des neurones. Il est 44 possible d'entendre la décharge électrique émise par le neurone. [...]
[...] Benabid et Pollak on découvert cette cible qui pouvait être électrostimulée. Le noyau sous-‐thalamique est une toute petite structure qui fat 4 mm de hauteur sur 6mm de largeur. Il est situé dans le tronc cérébral sous le thalamus. On va le stimuler avec une électrode permanente, c'est une stimulation chronique. On le stimule à plus de 100 Hz et cela permet de retrouver un fonctionnement normal du NST. Cela régularise la sortie. Toutes les voies de sorties sont à nouveau normalisées et le mouvement est remis en norme. [...]
[...] Elle ne fait pas disparaître l'akinésie et la raideur. Cette opération ne peut se faire qu'unilatéralement, la proximité des thalamus étant dangereuse. L'opération peut même engendrer des troubles de la marche, de l'équilibre et une dysarthrie. De plus, ses effets s'estompent avec le temps car les neurones se réorganisent. À partir des années 1960, les neurochirurgiens stimulent électriquement des parties du cerveau pour s'y repérer Durant cette décennie et la suivante, des neurochirurgiens émettent l'hypothèse que l'implantation d'une électrode permanente pourrait traiter les tremblements. [...]
[...] Ensemble des protéines exprimées dans une cellule Ou radicaux superoxydes. Espèce chimique très oxygénée possédant un électron célibataire, la rendant instable et donc très réactive II. Proposer un traitement chimique La diminution de la dose de dopamine au niveau du striatum dans le cerveau cause l'essentiel des symptômes. Dans les années 1960, un nouveau traitement voit le jour: les chercheurs proposent de tout simplement combler ce déficit en dopamine. On distingue plusieurs manières de compenser ce manque. De plus, les traitements antiparkinsoniens ont aussi une “Lune de c'est-‐à-‐dire une période au début du traitement où l'efficacité des médicaments est maximale. [...]
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