L'oeil est l'organe récepteur de l'appareil de la vision, dont le rôle est de diriger les rayons
lumineux vers la rétine.
La lumière est une onde électromagnétique, se propageant dans l'espace et le temps. Mais la
lumière visible n'est en fait qu'une fenêtre étroite de l'ensemble des ondes électromagnétiques
existantes, comprenant les rayons gamma, X, ultraviolets, infrarouges, les ondes radios, etc. Le
spectre du visible s'étend à peu près de 400 nm (violet) à 700 nm (rouge).
Après avoir longtemps cru que la luminosité était prépondérante devant la teinte-dont le rôle était peu exploité dans les classements de couleurs- les expériences de calorimétrie proont prouvé
que la lumière blanche se décompose en rayons multicolores et donc que l'on peut classer les couleurs sur un critère de teinte sans les subordonner à un critère de luminosité. On nomme « teinte » la ou les fréquences engendrant l'impression chromatique.
On définit deux termes caractérisant une couleur. La saturation correspond à la vivacité, la pureté de
celle-ci et la valeur représente l'amplitude lumineuse la définissant.
La dyschromatopsie est un trouble de la perception des trois couleurs fondamentales. On distingue quatre cas différents. Il existe, d'une part les protanopes qui sont dit aveugles du rouge et dont les confusions typiques sont rouge-gris et vert-marron. D'autre part les deutéranopes ne voient pas le vert et confondent le gris avec le pourpre et le vert avec le orange. Les protanopes et les deutéranopes sont dichromates, ils ne possèdent que deux des trois pigments fonctionnels. Par ailleurs, un tritanope est incapable de voir du bleu alors qu'une personne monochromate n'a aucune
sensation chromatique. Sa vision est uni variante, seule la luminosité intervient donc sa vision se
décline sur une échelle de gris.
[...] Après avoir longtemps cru que la luminosité était prépondérante devant la teinte -dont le rôle était peu exploité dans les classements de couleurs- les expériences de calorimétrie pro ont prouvé que la lumière blanche se décompose en rayons multicolores et donc que l'on peut classer les couleurs sur un critère de teinte sans les subordonner à un critère de luminosité. On nomme teinte la ou les fréquences engendrant l'impression chromatique. On définit deux termes caractérisant une couleur. La saturation correspond à la vivacité, la pureté de celle-ci et la valeur représentent l'amplitude lumineuse la définissant. La dyschromatopsie est un trouble de la perception des trois couleurs fondamentales. [...]
[...] En fait, nous baignons en permanence dans un champ électromagnétique, créé par la présence de particules chargées et de leur déplacement. Les ondes électromagnétiques sont caractérisées par leur longueur d'onde, λ, trajet parcouru par l'onde pendant une période, et leur fréquence, µ. Ceux-ci sont liés par la formule λ=c/µ , où c est la célérité de l'onde électromagnétique, soit environ km.s- Mais la lumière visible n'est en fait qu'une fenêtre étroite de l'ensemble des ondes électromagnétiques existantes. Il comprend également les rayons gamma, ultraviolets, infrarouges, les ondes radio, etc. [...]
[...] C'est à l'une d'entre elles que nous nous sommes intéressés : La Dyschromatopsie. Il s'agit d'un trouble de la vision des couleurs, une incapacité de l'œil à distinguer normalement les trois couleurs fondamentales. Nous allons développer ce sujet dans le cadre des projets pistes, afin de proposer, à partir d'une problématique bien affirmée, une démarche cohérente de résolution. Le sujet proposé nous a été formulé de la manière suivante:Conception d'un test original quantitatif des dyschromatopsies. Au premier abord, nous avons essayé de saisir le sens global du sujet pour définir les premières limites de nos recherches. [...]
[...] Construction La construction du modèle représentatif de la vision humaine s'est faite en plusieurs étapes. Les chercheurs sont partis de l'espace CIE RGB trop petit pour contenir toutes les couleurs spectrales. Il est absolument inexploitable. La couleur est notée de cette façon : C = R + V + B Ils sont ensuite passés à un espace beaucoup plus grand appelé XYZ , exploitable mais pas très pratique : la couleur est notée : C = X + Y + Z Ils ont ensuite pris en considération uniquement le plan de chromaticité appelé triangle de Maxwell et on a noté la couleur d'une nouvelle manière c = z afin de se dispenser des informations de luminosité. [...]
[...] Figure 14 : Le test de Farnsworth-Munsell 100-Hue Planches Pseudo-isochromatiques Il existe un test destiné aux jeunes enfants qui ne savent pas lire. Ce test appelé "Color Vision Testing Made Easy" est distribué par Home Vision Care. Ce test est destiné aux jeunes enfants, il fonctionne comme le test d'Ishihara par la vision de planches pseudo-isochromatiques, mais celles-ci sont composées d'objets facilement identifiables 24 par les enfants : cercle, étoile, carré, bateau, chien et ballon. L'exemple ci-dessous montre un test avec des objets. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture