A la différence du système nerveux somatique, qui est le support de l'action sur le milieu extérieur, le système nerveux autonome a pour fonction la régulation du milieu intérieur. Il existe d'ailleurs entre les deux systèmes des interrelations fonctionnelles étroites.
Le système nerveux végétatif a le pouvoir d'intervenir sur les fonctions végétatives. Il est capable d'influencer sa pression artérielle, son système horripilateur, son rythme cardiaque, sa vascularisation de ses extrémités, en contrôlant les centres corticaux correspondent à ces fonctions.
On distingue schématiquement le sympathique et le parasympathique, dont les actions sont les plus souvent antagonistes.
[...] Le deuxième neurone (post ganglionnaire) fait synapse le plus souvent dans un ganglion para vertébral. Il aura trois destinés : - Soit il va être à destiner somatique en regagnant le nerf rachidien par le rameau communiquant gris (ayant un rôle dans la pilomotricité, et la sécrétion sudoripare) - Soit il emprunte une collatérale en longeant les parois artérielles (rôle dans la vasomotricité) - Soit il fait des synapses dans un ganglion pré vertébral à destinée viscérale (rôle dans la motricité et sécrétion viscérale). [...]
[...] Le système nerveux végétatif À la différence du système nerveux somatique, qui est le support de l'action sur le milieu extérieur, le système nerveux autonome a pour fonction la régulation du milieu intérieur. Il existe d'ailleurs entre les deux systèmes des interrelations fonctionnelles étroites. Le système nerveux végétatif a le pouvoir d'intervenir sur les fonctions végétatives. Il est capable d'influencer sa pression artérielle, son système horripilateur, son rythme cardiaque, sa vascularisation de ses extrémités, en contrôlant les centres corticaux correspond à ces fonctions. [...]
[...] Il comprend des voies afférentes, des centres et des voies efférentes, mais seules ces deux dernières sont bien connues. Le système nerveux végétatif se distingue du système somato-moteur par une organisation à deux neurones pré et post-ganglionnaire. Le système sympathique Les voies efférentes Le premier neurone a son corps cellulaire dans la corne latérale de la substance grise de la moelle épinière (dans la zone viscéro-motrice), son axone gagne la racine antérieure du nerf rachidien, puis gagne la chaîne des ganglions para-vertébraux par le rameau communicant blanc. [...]
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