Le pavillon et le conduit auditif externe font partie de l'oreille externe. Le tympan, les osselets et la caisse de tympan font partie de l'oreille moyenne. La trompe d'Eustache, la cochlée, l'organe de Corti, le nerf auditif et l'appareil vestibulaire font partie de l'oreille interne. Le système auditif est le système sensoriel le plus impliqué dans l'émotion. L'oreille humaine moyenne ne perçoit que les sons situés entre 20 Hz et 20000 Hz, nous ne percevons pas tous les sons. L'hertz est l'unité de fréquence.
Les aires auditives primaires et l'aire auditive secondaire sont situées dans le lobe temporal. Le cerveau est capable d'associer différentes informations que nous percevons. L'aire de Wernicke est impliquée dans l'intégration auditive, elle permet la compréhension du son. Cette aire est associée à l'aire de Broca.
Pendant le sommeil, on entend, mais on n'interprète pas les sons. Le sommeil est décrit comme un état d'éveil, mais bas. C'est l'attention qui permet au cerveau d'interpréter les sons. Ce ne sont donc pas les aires auditives primaires qui sont inactives, mais les voies secondaires. Une certaine liaison n'est pas active : l'attention. Pour être attentif, il faut être motivé.
Les émotions forment une faculté en elles– mêmes, tout comme la mémoire, l'intelligence. Pendant une peur conditionnée, le cerveau reçoit un message viscéral (ressenti du corps) du vécu et des sens qui transmet le message à l'amygdale. Pour qu'il s'agisse d'une peur conditionnée, il faut que la peur soit répétée ou intense (stress post-traumatique).
L'amygdale est liée à l'hypothalamus. L'amygdale reçoit les informations des régions sensorielles. Cette information est transmise par l'amygdale au centre qui déclenche des réactions autonomes (accélération rythme cardiaque), l'hypothalamus. Quand le sens est lié à un sentiment, l'amygdale a transmis l'information à l'hippocampe. Il va revivre le souvenir parce que le vécu rentre en jeu. L'information par l'émotion sera mieux encodée dans la mémoire. Encoder c'est transformer une information en souvenir.
Quand l'information est négative, l'amygdale est plus active. Plus l'activation de l'amygdale est importante pendant un événement, les informations sont mieux encodées. Le rappel du souvenir sera plus stable. Quand l'information est positive, je mémorise le contexte, mais moins les éléments. Quand c'est négatif, c'est tous les éléments qui sont mémorisés, c'est plus les détails. On mémorise donc dans les deux cas, mais pas de la même manière.
Une région, dans notre cerveau, existe pour nous relativiser. Elle se trouve dans nos lobes frontaux. C'est la prise de décision qui inhibe l'activité de l'amygdale. Cette prise de décision c'est la société et le choix personnel qui la gère. Si la prise de décision est perturbée, le système limbique est beaucoup plus activé. Chez les patients souffrant de trouble de stress post-traumatique ont une activité du lobe frontal pas assez importante et l'amygdale a donc plus d'activité.
[...] Les informations ne peuvent donc pas être stockées. On a une mémoire antérograde : amnésie (toutes les cinq minutes, on oublie) La mémoire émotive est constituée d'épisodes qui nous ont marqués fortement (mémoire épisodique). L'hippocampe et l'amygdale (système limbique) gèrent cette émotion. Le système limbique est plus actif chez une femme que chez un homme. L'épisode peut devenir un souvenir s'il est stocké. Si l'émotion est assez forte, elle passe dans les autres structures qui stockent les informations. La mémoire procédurale ne sollicite pas l'hippocampe, mais le cervelet. [...]
[...] La concentration c'est l'attention focalisée soutenue, c'est plus dans le temps. La motivation permet de faire en sorte qu'on apprend. Il n'y a pas d'apprentissage sans motivation. TD 3 : La mémoire et l'émotion Les émotions forment une faculté à elle même, tout comme la mémoire, l'intelligence. Pendant une peur conditionnée, le cerveau reçoit un message viscéral (ressenti du corps) du vécu et des sens qui transmet le message à l'amygdale. Pour qu'il s'agisse d'une peur conditionnée, il faut que la peur soit répétée ou intense (stress post-traumatique). [...]
[...] ( Antagonistes des Récepteurs NMDA. Le glutamate est un antagoniste naturel. Lors de la maladie d'Alzheimer, le glutamate est libéré en grande quantité dans le cerveau. Il a un effet nocif. ( Immunothérapie (système immunitaire). On fixe des anticorps sur les protéines pour les supprimer. ( Les traitements sur les plaques séniles ont été abandonnés car ils avaient de graves effets secondaires. ( Agent intercalant des paires hétéroïdale de filaments. Ce qui diminue le déclin cognitif de 81% chez les formes légères et modérées de la maladie. [...]
[...] Les fonctions du sommeil sont l'adaptation biologique, la conservation de l'énergie et l'ontogenèse du sommeil paradoxal. Le sommeil, une adaptation biologique. Les théories biologiques sur le sommeil suggèrent que le sommeil correspond à une stratégie de conservation d'énergie, mais répond également à d'autres fonctions comme, par exemple, l'adaptation au mode de vie ou le besoin de se mettre à l'abri durant la nuit. La conservation de l'énergie. Lors de l'éveil, la consommation de glucose augmente au niveau du cerveau ce qui conduit à une production de lactate, substrat préféré des neurones. [...]
[...] C'est l'attention qui permet au cerveau d'interpréter les sons. Ce ne sont donc pas les aires auditives primaires qui sont inactives mais les voies secondaires. Une certaine liaison n'est pas active : l'attention. Pour être attentif, il faut être motivé. L'ouïe est le premier des sens à se développer. Le rôle du cerveau dans la perception auditive n'est pas limité à reconnaître la nature du son, il doit aussi analyser la nature du son. L'oreille fournit des informations brutes et le cerveau les traite temporellement, les interprète et il filtre les informations. [...]
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