Le médecin est dans l'obligation de suivre scrupuleusement la parole des anciens. On pense que ce savoir des anciens est issu de leurs expériences ou bien qu'il leur a été transmis par les Dieux.
Ce savoir est consigné dans les papyrus médicaux. Ces papyrus ont été recopiés des centaines voire des milliers de fois par les scripts et ils sont là pour guider le médecin dans son diagnostic et éventuellement dans son pronostic (son affirmation sur l'avenir de la maladie).
Ex. : les papyrus indiquent 3 types de pronostic :
- Favorable : un mal que je traiterai.
- Douteux : un mal que je combattrai (=50 %-50 %).
- Négatif : un mal que je ne peux traiter.
Le médecin se familiarise avec ces écrits durant sa formation dans l'une « des maisons de vie » rattachées aux grands temples. Ces « maisons » sont de véritables lieux de savoir ou se côtoient des lettrés, des prêtres, philosophes et des savants. La médecine est donc une médecine livresque, c'est-à-dire basée sur des textes. Après seulement, elle sera clinique c'est-à-dire basée sur l'observation.
[...] Il se révolte contre la dictature des papyrus et il s'installe en ville et il va devenir le médecin de toutes sortes de personnes. Dans son cabinet, Sinouhé fait peindre 3 fresques assez symboliques : o Le 1er : on voit Himhotep (dieu du médecin) donné de la leçon à Sinouhé o La 2e : Sinouhé offrir un sacrifice a Amon o La 3e : on voit le pharaon qui contemple Sinouhé du haut du ciel et ce serviteur couvre d'or le médecin Comment se passe une consultation ? [...]
[...] Elle est liée aux intérêts du clergé. Celui-ci fondé sa puissance et sa richesse sur la peur de la maladie et de la mort et donc pour affirmé la pérennité de son influence, le clergé réaffirme l'idée que la santé dépend de la bonne volonté des Dieux. Aspect pratique : les offrandes faites aux dieux ds les temples parviennent directement aux prêtes. - La pharmacopée parfois bien fantaisiste à laquelle on recourt les E. ils faisaient exprès d'utiliser ses substances pour repousser les esprits mauvais qui été dans les patients. [...]
[...] On peut donc opposé aspect pragmatique, empirique à l'aspect spéculatif (travailler sur les symptômes) de l'acte médical VII) Conclusion Intéressante, mais en raison du poids du clergé, elle est restée pratiquement figée durant 3000 ans s de l'histoire pharaonique. Ce n'est qu'avec l'arrivée de Alexandre le Grand -300 Av JC, et celle de médecins grecques que la médecine E va évoluer. [...]
[...] Ainsi, il est garant de la santé de ces sujets. En vérité, il délègue cette tâche à un corps de fonctionnaire que l'on appelle les Sinous II) Les papyrus médicaux Source documentaire Le médecin est dans l'obligation de suivre scrupuleusement la parole des anciens. On pense que se savoir des anciens est issu de leurs expériences ou bien qu'il leur a été transmis par les Dieux. Ce savoir est consigné dans les papyrus médicaux. Ces papyrus ont été recopiés des 100ène voir des 1 000milliers de fois par les scripts et ils sont là pour guider le médecin dans son diagnostic et éventuellement pour leur pronostic (leur affirmation sur l'avenir de la maladie). [...]
[...] De toutes les disciplines scientifiques de l'Égypte ancienne, aucune n'a acquis autant de renom que la médecine. Celons les témoignages, la médecine E atteignez un niveau de spécialisation remarquable pour l'époque. Selon Hérodote, qui visite le pays vers 520 Av JC, chaque médecin soigne une seule maladie et non plusieurs. Médecine riche et complète qui s'occupe de tout un éventail de maux (morsure de serpent, problème gynéco en passant par les fractures, tumeurs Retrouve le lien entre religion et médecine et chez les ce lien passe par le pouvoir CAD par le pharaon. [...]
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