I - L'obésité
II - Le diabète
[...] Pendant le repas, en petite quantité, ils seront mieux métabolisés. Strictement interdit : Sucre Miel Sodas Les équivalences Elles sont valables pour tous les régimes. Équivalences glucidiques Fruits 150 g d'orange épluchée = 15 g de glucides. Féculents 200 g de pommes de terre vapeur à 4 moyennes) = 40 g de glucides 50 g de pain baguettes) = 25 g de glucides Laitages 10 g de lait en poudre cuiller à soupe) = 5 g de glucides Équivalences générales 150 g de féculents = 100 g de frittes 1 hamburger 1 Big Mac 1/2 pizza 60 g de pain 30 g de pain = 1 tarte aux légumes 60 g de pain = 1 pizza assiette 60 g de pain + 1 fruit 1 tarte de pâtissier 2 crêpes salées + 1 crêpe au chocolat 1 fruit + 1 laitage = 1 glace boule) On utilise les équivalences pour varier l'alimentation. [...]
[...] Indice de Catley. ÉTABLISSEMENT du régime Il doit être : Hyperprotidique : 20% de la ration alimentaire normale Normoglucidique : 50% Hypolipidique : 30% Quel que soit l'apport calorique choisi, ces proportions doivent être respectées. De 800 à 1400 calories/jour. Conseils généraux L'amaigrissement ne doit pas être trop rapide. Il doit être progressif. L'association d'activité physique est fortement conseillée : Favorise la métabolisation des graisses Aide psychologique Le patient doit faire trois repas par jour : ne surtout pas passer de repas. [...]
[...] Régime On va insister sur les glucides indispensables et les répartir dans une ration journalière en fonction du type d'insuline employé. Interrogatoire alimentaire pour se rapprocher le plus possible des habitudes alimentaires du patient. Il s'agit d'adapter le taux calorique pour que le patient reste en équilibre de poids. Il faut adapter le régime à chaque patient. Le régime est normo-calorique, et peut même être hypercalorique : amaigrissement chez un patient qui décompense un diabète. Si on constate de gros déséquilibres alimentaires, on va en profiter pour rééquilibrer le régime du patient. [...]
[...] Normale : 8 g/l de sang ; 5,5 mmol/l En général, on révèle ce genre de diabète par une hyperglycémie provoquée. Glycémie à jeun Glycémie postprandiale Hyperglycémie provoquée Le diabète non-insulinodépendant survient par excès de poids. Chez le patient obèse, les récepteurs de l'insuline sont "encrassés" et donc moins sensibles. Le régime est le même que pour un patient obèse classique. Si le régime ne suffit pas, on l'associe à des antidiabétiques oraux (hypoglycémiants. Deux types : Sulfamides DAONIL Ils aident le pancréas à produire de l'insuline. Biguanides GLUCOPHAGE. [...]
[...] Déclenchement d'un diabète gestationnel : D'abord un régime Éventuellement insuline Patientes déjà diabétiques : On donne systématiquement de l'insuline Même régime qu'avant la grossesse jusqu'au 4ème mois À partir du 5ème mois, on augmente la ration protidique de 50 à 100 g/j Jamais de régime inférieur à 1600 Cal, même si la mère a tendance à prendre du poids. On introduit des collations dans la ration. Il faut absolument éviter l'hypoglycémie et l'acétonurie : dangereux pour le fœtus. En voyage Ne pas oublier son traitement et de quoi remédier à un malaise. Se renseigner de la possibilité du traitement là où on va. [...]
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