Santé - médico-social, Rééducation de la marche du malade Parkinson, Claire MARSAL, affection dégénérative d'étiologie, neurones dopaminergiques, système nerveux central, SNC
La maladie de Parkinson est une affection dégénérative d'étiologie inconnue. Elle touche les neurones dopaminergiques. C'est une maladie du SNC, touchant la motricité automatique du patient. La triade des symptômes d'un patient Parkinsonien est les tremblements au repos, la rigidité et la bradykinésie. Cette maladie est à évolution lente, progressive et asymétrique. Le choix des techniques de la rééducation dépendra avant tout du stade évolutif.
[...] Avant toute rééducation à la marche, il faut prendre en compte plusieurs facteurs. Il faut prendre en compte la douleur du patient qui peut être de type rhumatismal, sensitives primaires ou dues aux fluctuations. L'entretien orthopédique est très important pour prévenir les rétractions et déformations des membres. On doit aussi donner des conseils de positions au patient. La rééducation de la marche doit se faire en séance de groupe, de manière intensive à 5 fois par semaine pendant un mois pour pouvoir optimiser les performances du patient. [...]
[...] Fiche de lecture : Claire MARSAL Rééducation de la marche du malade Parkinson KS - Février 2002 n°419 p.33 à 37 La maladie de Parkinson est une affection dégénérative d'étiologie inconnue. Elle touche les neurones dopaminergiques. C'est une maladie du SNC, touchant la motricité automatique du patient. La triade des symptômes d'un patient Parkinsonien est les tremblements au repos, la rigidité et la bradykinésie. Cette maladie est à évolution lente, progressive et asymétrique. Le choix des techniques de la rééducation dépendra avant tout du stade évolutif. [...]
[...] L'équilibre reste difficile pour le patient par trois points : une altération des propriétés visco-élastiques des muscles et des tendons, d'un retard de réponses posturales et d'un défaut d'intégration des informations sensorielles. La marche du parkinsonien dépend beaucoup de sa posture. Le patient a une attitude en flexion du tronc et des membres, avec la tête projetée en avant. Tout cela entraîne une démarche voûtée, à petits pas, sans élargissement du polygone de sustentation, avec perte de la dissociation des ceintures et du balancement des bras. [...]
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