Rapports d'entretiens d'ostéopathes, corps humain, vie professionnelle, vie familiale, cabinet médical, profession libérale, contact humain, demande des patients
L'ostéopathe que j'ai interviewé est devenu ostéopathe, car pour lui le corps humain est une des choses les plus complexes dans ce monde et c'est ce qui lui a donné envie d'entamer cette branche. De plus, sa mère travaillait dans un magasin et se plaignait souvent de mal de genoux, il voulait étant petit la soigner, c'est ce qui lui a donné encore plus envie de devenir ostéopathe.
[...] Lorsqu'il restait bloqué sur le cas d'un patient, il appelait un ancien camarade de classe ou il demandait à son voisin qui était l'ancien propriétaire des lieux. Il ne s'est jamais retrouvé dans des situations gênantes. Lorsqu'un patient ne suit pas ses conseils il n'a pas d'autre choix que de les prévenir des répercussions. Selon lui, pour que le travail d'un ostéopathe soit bien fait, il lui faudrait la coordination de kinésithérapeutes et de médecins. Quant-il prend des vacances, il prévient ses clients quant-il les voit où il appelle les clients habituels. [...]
[...] Les conseils étaient pertinents et les clients avaient l'air satisfait de la séance une fois terminé. Ce que j'ai pu aussi remarquer, c'est que même pour des clients habituels, les ostéopathes faisaient à nouveau une anamnèse leur permettent ainsi de ne pas laisser échapper le moindre détail ou les nouveaux traumatismes. Il est arrivé à un ostéopathe que j'ai observé d'être bloqué sur une situation, il a appelé un autre ostéopathe qui l'a aidé directement, ce que j'ai aimé dans ce comportement c'est qu'il a été sincère avec le patient, il lui a expliqué qu'il n'était pas sûr de lui sur un certain point et qu'il devait demander conseil. [...]
[...] Les praticiens, même ceux ayant beaucoup d'expériences, ont parfois besoin de retourner dans les livres et aux bases des techniques. Leurs choix des techniques se sont faits différemment : soit par affinité soit en fonction du type de patients qui se présentent à eux. Ils refusent, pour la plupart, aucun de leurs patients et essaient tous de trouver une solution face aux conditions qui entrainerait le refus d'un client. Les situations gênantes existent surtout chez les femmes et plus particulièrement aux domiciles des patients. [...]
[...] Elle utilise les mêmes techniques que son école lui a enseigné. Elle adapte les techniques en fonction du cas des chevaux qu'elle rencontre. Elle est diplômée depuis peu de temps et elle continu à se former. Elle travaille à domicile. Pour faire sa clientèle, elle a déposé des cartes dans des boîtes aux lettres, de plus, elle fait du cheval donc avait déjà une certaine relation dans ce milieu. Il lui a fallu une bonne année pour commencer à bien gagner sa vie. [...]
[...] Pour lui il ne lui ait jamais arrivé d'aggraver le cas d'un patient, mais il a été menacé une fois de plaintes par une femme qui le lendemain de sa séance avait des douleurs aux dos excessives mais qui avaient été prévenues lors de sa séance de ses douleurs potentielles. Pour elle, il avait aggravé son cas ; pour lui c'était le processus (il n'a plus jamais eu de nouvelles). Le harcèlement par un patient ne lui ait jamais arrivé. Pour les précautions particulières face à des bébés, personnes âgées et femmes enceintes, il y va juste avec douceur et avec l'habitude de sa pratique il sait maintenant comment appréhender ce type de personnes. Concernant l'assurance de ses mains ; non il n'a jamais voulu. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture