Les premiers téléphones mobiles apparaissent en 1956. Cependant, l'énergie nécessaire pour émettre un signal est très importante, et l'utilisation des piles ne suffit pas. De plus, les antennes de ces "portables" mesurent plus d'un mètre ! Bref, ces prototypes étaient réservés aux véhicules. Entre 1984 et 2001 la taille de ses téléphones a été divisée par quatre.
Aujourd'hui, il est indispensable à la plupart des gens. Nous l'emportons partout, il est parfois même plus important que notre portemonnaie (selon une étude de l'institut Synovate, 25 % des sondés préfèrent perdre leur portefeuille que leur téléphone.)
Il permet tout d'abord de communiquer, appeler, envoyer des SMS, mais aussi d'aller sur Internet : consulter ses mails… Comme il est rarement éteint, nous sommes en permanence soumis à ses ondes.
Comment les ondes du téléphone interagissent-elles avec notre organisme ?
[...] Les ondes du téléphone portable vont agiter l'eau. Le cerveau est évidemment la première zone touchée par les ondes du téléphone portable. Au niveau du crâne, il y a certaines zones bien précises qui sont les plus touchées, car quand une personne est en communication téléphonique, le portable est au contact avec le crâne au niveau des oreilles. Aussi, les reins et les intestins sont touchés, lorsque nous mettons le téléphone dans la poche. Expérience Nous avons réalisé trois expériences différentes de cinq minutes que nous avons toutes effectuées le même jour : La première correspond à une expérience qui sert de témoin : Nous avons utilisé un bécher en verre, une sonde thermométrique, un ordinateur avec le logiciel EXAO, un thermomètre, deux téléphones portables et de l'aluminium. [...]
[...] Effets encore à déterminer Les scientifiques ont procédé à plusieurs expériences. Cependant, ils n'ont pas réussi à prouver que le téléphone portable avait des effets nocifs sur la santé. Ils ont fait des études pour étudier l'impact des OEM des téléphones portables dans plusieurs domaines : Certains individus font état d'une "hypersensibilité" aux champs électriques ou magnétiques. Ils se demandent notamment si les migraines, la dépression, la léthargie, la spasmophilie, les insomnies dont ils souffrent ne seraient pas dues à une exposition à des champs électromagnétiques. [...]
[...] À la différence des vagues et du son, les ondes électromagnétiques n'ont pas besoin de matière pour se déplacer. Elles peuvent traverser certains matériaux comme le bois ou du plexiglas, mais pas une plaque métallique, car l'onde se réfléchit sur cette plaque ou encor l'eau (dont est constitué notre corps à 60% à l'âge adulte), car elle absorbe bien les ondes. Ces dernières se déplacent à une vitesse de kilomètres par seconde dans le vide, soit à la vitesse de la lumière, notée c. [...]
[...] Ces ondes touchent principalement les muscles, le cerveau et les reins. De nombreuses études ont été menées montrant principalement que plus la distance entre l'antenne du téléphone portable et le cerveau de l'individu est faible, plus l'intensité de rayonnement est maximale, c'est-à-dire que les ondes émises par les téléphones portables auraient tendance a augmenter la température des tissus en contact (notamment le cortex), et provoquer des cancers. Les pouvoirs publics ont donc imposé des valeurs maximales pour les émissions de radiofréquences des tel : l'indice DAS. [...]
[...] C'est un sujet majeur pour l'avenir. Le ministère de la Santé a lancé une mise en garde concernant les risques pour la santé des enfants dans le cas d'un usage excessif des téléphones mobiles. Réglementation, normes et précaution Les normes : le DAS Les pouvoirs publics ont imposé des valeurs maximales pour les émissions de radiofréquences des téléphones mobiles, ce qui se traduit par l'indice DAS De son sigle : Indice de Débit d'Absorption Spécifique également connu sous sa dénomination anglaise (SAR = Specific Absorption Rate) il mesure le niveau de radiofréquences émis par le portable vers l'usager lorsqu'il fonctionne à pleine puissance (=indique la quantité d'énergie absorbée par l'organisme) L'effet des radiofréquences est en tout cas pris très au sérieux par les pouvoirs publics, les instituts de consommation, les fabricants de mobiles et les opérateurs. [...]
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