Les gestes font partie de notre quotidien et ne sont pas dissociables de notre comportement. En effet, en psychologie les gestes sont souvent décryptés car ils traduisent notre comportement, nos sentiments et nos émotions à des moments précis (c'est la synergologie). C'est pourquoi nous nous sommes intéressés aux structures cérébrales qui sont impliquées dans la genèse des gestes.
Le geste est défini comme un mouvement du corps ou d'une partie du corps qui sert à faire ou à exprimer quelque chose.
Ainsi, nous pouvons avancer que nos attitudes trouvent leur origine dans le cerveau. Certaines structures cérébrales sont donc responsables de la genèse de notre gestuelle. Alors, quelles sont ces structures ?
Néanmoins, pour connaitre quelles structures sont impliquées dans la genèse des gestes, nous devons d'abord nous intéresser aux apraxies.
[...] Les troubles qui lui sont associés sont souvent une contemplation énigmatique de vêtements, qui même retourné dans tout les sens, ne trouve pas leur place. Pour finir, l'apraxie buccofaciale est due à une lésion de la partie antérieure de l'opercule rolandique et l'apraxie de la marche est engendrée à cause d'une lésion des régions frontales bilatérales. Grâce à la multiplicité de ces formes d'apraxies et de leur localisation, on observe la présence d'une multitude de zones qui participent à la genèse des gestes. [...]
[...] Quelles sont les structures cérébrales impliquées dans la genèse des gestes? Introduction Les gestes font partie de notre quotidien et ne sont pas dissociables de notre comportement. En effet, en psychologie les gestes sont souvent décryptés, car ils traduisent notre comportement, nos sentiments et nos émotions à des moments précis (c'est la synergologie). C'est pourquoi nous nous sommes intéressés aux structures cérébrales qui sont impliquées dans la genèse des gestes. Le geste est défini comme un mouvement du corps ou d'une partie du corps qui sert à faire ou à exprimer quelque chose. [...]
[...] En effet, une lésion de ces derniers entraine des troubles au niveau des mouvements. Néanmoins, on a aussi constaté que d'autres régions du cerveau permettent la naissance de nos gestes et surtout du processus qui conduit à leur exécution. Ainsi, on ne peut dire qu'il n'y a pas qu'une seule région impliquée dans la naissance des gestes, mais plutôt une association des différentes structures donnant lieu à des exécutions motrices, c'est-à-dire, des gestes. Bibliographie indicative Le cerveau et le mouvement: comment nos gestes construisent notre pensée Excelsior publ. [...]
[...] La moelle épinière possède simplement un rôle de passage. On peut donc considérer qu'un mouvement est un ensemble de petits mouvements élémentaires. Les étapes du mouvement élémentaire (3étapes) : - La phase préparatoire : identification de l'objet (reconnaissance, la position de l'objet, ma position) qui dépend du cortex sensoriel, il donne toutes les informations nécessaires (auditive, visuel - La phase de programmation : va déterminer les différents mouvements élémentaires pour réaliser le mouvement complet (succession d'étapes régulées dans le temps et l'espace sous la dépendance du cortex moteur). [...]
[...] Le Thalamus possède un rôle de régulation, qui semble donner la touche finale à tout mouvement élaboré. On peut dire qu'il va regrouper l'ensemble des informations touchant aux gestes. Et enfin, c'est le Faisceau pyramidal qui innerve les muscles des membres et qui assure la conduction de l'influx nerveux jusqu'aux motoneurones pour finalement produire la contraction des muscles. Conclusion Pour résumé, les apraxies idéomotrices nous permettent de supposer que le gyrus angulaire, le gyrus supramarginal, le faisceau arqué et le corps calleux sont inclus dans la genèse des gestes. [...]
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