L'oxygène nous est vital pour notre survie. Mais à quoi nous sert-il ? Comment notre organisme s'en sert, à quelles fins, et comment s'adapte-t-il face à un défaut d'apport oxygène ? Y a-t-il plusieurs troubles d'apports d'oxygènes ? Et enfin y a-t-il plusieurs types d'adaptations pour pallier à un défaut d'apport en oxygène ? Autant de questions qui méritent des réponses…
Les cellules utilisent leur énergie de l'hydrolyse de l'ATP (Adénosine tri phosphate) en ADP (Adénosine di phosphate), phosphates inorganiques et ions H+.
L'ATP est par la suite régénérée dans les mitochondries à partir de ces métabolites, en présence d'oxygène (O2).
Le moyen le plus efficace de produire de l'ATP est par phosphorylation oxydative, en présence de glucose.
[...] Cet excès fait que l'organisme peut faire face à une chute dans l'apport de dioxygène sans altérer initialement le métabolisme aérobie et la consommation de dioxygène. Dans ces conditions, la consommation d'oxygène est indépendante de l'apport d'oxygène. Elle est constante si l'activité des tissus ne se modifie pas. Si la chute dans l'apport d'oxygène arrive jusqu'à un certain point, elle entraîne par conséquent une baisse proportionnelle de la consommation d'oxygène. Dans ces conditions, la consommation d'oxygène est dépendante de l'apport d'oxygène. II. [...]
[...] Son efficacité dépend de la liaison à un récepteur de la famille des récepteurs de facteurs de croissance hématopoïétique et de l'activation d'une voie de signalisation. La PI3 kinase et STAT5 font partie des protéines cibles mobilisées par cette voie de signalisation, et respectivement inhibent l'apoptose et stimulent la prolifération cellulaire. Angiogénèse : Le vascular endothelial growth factor (VEGF) est un facteur angiogénique favorisé par l'hypoxie. Celui-ci entraîne la formation d'un bourgeon endothélial, puis la formation et la survie de vaisseaux immatures. C'est seulement lorsque ces vaisseaux sont entourés de péricytes, cellules musculaires lisses et d'une membrane basale qu'ils deviennent indépendant du VEGF. [...]
[...] La quantité liée à l'hémoglobine, qui dépend de la pression partielle d'oxygène, est très importante, environ 20,8 ml d'oxygène par cent millilitres de sang. En effet, une mole d'hémoglobine lie à saturation quatre moles d'oxygène, et les quinze grammes d'hémoglobine contenus dans cent millilitres de sang lient 15 x (1/64500) x (22400 x millilitres d'oxygène. Le poids moléculaire en grammes de l'hémoglobine est de 64500 grammes et le volume en millilitres occupé par une mole de gaz dans des conditions standard est de 22400 millilitres. [...]
[...] Y a-t-il plusieurs troubles d'apports d'oxygènes ? Et enfin y a-t-il plusieurs types d'adaptations pour pallier un défaut d'apport en oxygène ? Autant de questions qui méritent des réponses I. Apports et consommation de dioxygène Les cellules utilisent leur énergie de l'hydrolyse de l'ATP (Adénosine tri phosphate) en ADP (Adénosine di phosphate), phosphates inorganiques et ions H+. L'ATP est par la suite régénérée dans les mitochondries à partir de ces métabolites, en présence d'oxygène (O2). Le moyen le plus efficace de produire de l'ATP est par phosphorylation oxydative, en présence de glucose. [...]
[...] La pression partielle d'oxygène dans l'air inspiré est donc de (21/100) x (760 47) = 149 mmHg. Elle dépend aussi d'une constante de diffusion qui est proportionnelle à la solubilité du gaz et inversement proportionnelle à la racine carrée de son poids moléculaire. Convection ou transport de substances dissoutes par un courant liquide ou gazeux Pour transporter les substances à proximité des cellules dans les organismes pluricellulaires, la convection forcée est indispensable. La quantité de substance transportée par unité de temps est proportionnelle au débit de fluide (liquide ou gazeux) et à la concentration de substance. [...]
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