Voies nerveuses, douleur, différentes douleurs, stimuli, moelle, tronc cérébral, structures cérébrales
C'est une sensation corporelle, donc il n'y a pas de définition facile de la douleur. Elle utilise des voies spécifiques discriminatives et conscientes. Cette sensation peut engendrer des réactions motrices, des modifications végétatives ou du comportement.
[...] - La répétition des influx douloureux active des IN à GABA qui eux-mêmes inhibent des opioïdes d'où facilitation de la douleur. Ils sont aussi contrôlés par des fibres venant de la réticulée du TC : - Faisceau Noradrénergique facilitateur des IN à opioïdes - Faisceau sérotoninergique facilitateur des IN à GABA (donc inhibiteur de la douleur). Le contrôle de la douleur: Elle est différente chez chaque individu selon la sensibilité de chacun, le vécu . On a une échelle de mesure subjective (échelle de 1 à 10). [...]
[...] La douleur lente monte dans le tronc, fait de nombreux relais dans le TC (c'est donc une voie multi-synaptique) et se termine dans le faisceau etra- lemniscal. A tous les étage du TC, cette voie envoie des collatérales qui vont influencer les noyaux de la réticulée qui sert entre autre à l'éveil. On a aussi la facilitation des messages douloureux vers le faisceau réticulo-thalamique qui participe aussi à l'éveil. Dans les structures cérébrales : La douleur rapide suit le tact mais une fois dans l'aire somesthésique primaire (la pariétale ascendante), elle part dans l'insula (dans la profondeur du lobe temporale) pour s'y terminer. [...]
[...] Elle utilise des voies spécifiques discriminatives et conscientes. Cette sensation peut engendrer des réactions motrices, des modifications végétatives ou du comportement. Les différentes douleurs : On a deux phases douloureuses, la douleur rapide qui est immédiate, précise, puis une douleur lente après quelques minutes avec des conséquences végétatives et conscientes. Une douleur projetée se fait là où il n'y a pas de lésion ou douleur locale. La douleur provient des nocicepteurs (récepteurs des coups, des brulures ) ou des douleurs cryptogénétiques (fibromyalgie=SPID). [...]
[...] Cette voie reste rapide malgré la synapse. Les fibres de la douleur lente (fibres plus lentes) font une première synapse (glutamate, substance ATP) au début de la corne postérieure (zone avec un interneurone qui fait lui aussi une nouvelle synapse à la fin de la corne postérieure (zone 5). Ce second neurone, décusse puis monte dans le faisceau spino-réticulo-thalamique qui est en dehors du faisceau de la douleur rapide. Le réflexe d'axone : Le message douloureux se réfléchit sur le corps cellulaire des fibres permettant un influx récurent vers la périphérie. [...]
[...] La libération sur le site de la lésion, des neuromédiateurs par la fibre afférente, vont entrainer une augmentation de la décharge douloureuse donc une augmentation de la douleur. Les opioïdes (morphine ) agissent un peu sur ces voies mais principalement sur les synapses de la douleur au niveau central et non périphérique (peu). La Xylocaïne bloque les canaux sodique rapide des petites fibres donc calmer la douleur mais elle doit être injectée localement. Les voies nerveuses de la douleur : Ce sont des fibres nociceptives périphériques. [...]
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