Compte-rendu de Travail Pratique (TP) de physiologie relatif à l'électromyogramme (EMG).
[...] Chacune d'elles correspond à un groupe de cellules musculaires (myofibrilles) commandées par une cellule nerveuse. Dans la première partie, le sujet est une jeune fille droitière de 21 ans pesant 52 kilos et pratiquant souvent le Basket-ball. Nous devons fixer les bracelets pour électrodes sur l'avant-bras dominant du sujet expérimental (l'électrode blanche se trouve au niveau de l'avant-bras vers l'intérieur du corps, la noire au niveau du poignet vers l'intérieur et la rouge vers l'extérieur). Les premières mesures s'effectuent sur le bras dominant du sujet qui réalise 4 ou 5 contractions en augmentant progressivement sa force de contraction. [...]
[...] - la fréquence moyenne, quant à elle, a tendance à stagner et diminue même parfois. - l'EMG intégré, qui informe sur le niveau d'activité du muscle, croît avec la force de contraction et suit en parallèle l'évolution de l'amplitude de l'EMG. On remarque aussi que l'amplitude EMG au repos n'est pas nulle. Par rapport aux résultats obtenus pour les deux bras, nous avons pu constater qu'il existait une relation linéaire entre l'amplitude du signal EMG et la force musculaire exercée. [...]
[...] Il est intéressant de noter que chez les sportifs, un entraînement approprié induit l'augmentation du nombre de mitochondries, entraînant un rendement optimal de l'hydrolyse aérobie du glucose. A partir du tableau 4 (en annexes on aperçoit une évolution croissante des résultats entre le niveau d'activité mécanique du muscle et la force développée. Et cette progression linéaire des résultats s'effectue de la même manière sur les deux bras. On peut donc dire que le niveau d'activité du muscle est d'autant plus grand que la force de contraction est importante. [...]
[...] Comme précédemment, la pratique se traduit par une diminution du potentiel de contraction, donc la force diminue parallèlement ainsi que le niveau d'activité du muscle. Annexes PREMIERE EXPERIENCE: Tableau Evolution des différents paramètres mesurés avec l'augmentation de la force de contraction. DEUXIEME EXPERIENCE: Tableau Mesure pour chacune des contractions la force moyenne et l'amplitude moyenne de l'EMG intégré. Tableau Mesure de la force maximale de contraction et du temps de fatigue. Tableau 4 : Mesure de la force de contraction et l'amplitude de l'EMG intégré pour des moments correspondant à et 100% du temps de fatigue. [...]
[...] On déduit alors que le sujet a mal estimé sa force (davantage pour le bras droit) puisque les premières contractions étaient trop faibles par rapport à la force maximale qu'il pouvait développer. A partir du tableau 3 (en annexes p6; tracés: Fatigue musculaire), on remarque que la force maximale développée par le bras dominant du sujet (35 kg) est très proche de celle du bras gauche (31 kg). En revanche, le bras gauche se fatigue moins rapidement que l'autre bras, le temps de fatigue était de 31.4 secondes pour le droit et 31.9 pour le gauche. [...]
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