Etre en bonne santé c'est ne pas être malade. Un malade c'est un individu qui souffre physiquement ou mentalement, et on considère que la souffrance est reconnue par l'environnement social (dont professionnels de santé) et familial.
L'OMS 1946 : « être en bonne santé c'est être dans un état de bien être, et cet état de bien-être renvoie aux dispositions favorables de l'organisme, par rapport à l'ensemble des fonction biologiques et physiologiques de l'organisme ». Etre en bonne santé implique la satisfaction de besoins fondamentaux :
- Besoins nutritionnels : dans le monde, 1 habitant sur 7 souffre de malnutrition (1 milliard de personnes)
- Besoins sanitaires
- Besoins éducatifs
- Besoins sociaux : l'intégration, ne pas être en marge de la société
- Besoins affectifs
De façon induite le concept de santé est fortement lié à la vision de la société. Le concept évolue dans le temps et dans l'espace. La santé est considérée presque exclusivement comme une absence de maladie.
[...] Parfois le système redistribue à l'envers et profite d'avantage aux plus riches qu'aux plus pauvres. Cas du micro-crédit : relève de l'économie sociale et solidaires. Gaspillage de l'argent public, car le contrôle des dépenses de santé est difficile. On s'interroge sur la justification morale et politique de la protection sociale : certaines personnes considèrent que l'état providence n'a pas lieu d'être : arguments l'état providence entraine une déresponsabilisation des individus. On considère que le fait d'apporter une aide va rendre ces personnes moins responsables. Idée d'assistance. [...]
[...] Cette santé publique est mise en œuvre par des administrations compétentes au service d'une population et au moyen d'une politique de santé. - Les organismes au cœur de la santé publique : o la sécurité sociale financée par les entreprises et les ménages o l'état et les collectivités locales : participent à l'offre de soin (fiancée par les mutuelles et la sécurité sociale) proposée aux ménages o les mutuelles et les assurances privées financées par les entreprises et les ménages *Relations financières Revenu universel : mutuelle de solidarité : chaque percevrait une somme et chacun pourrait adhérer à une mutuelle, et chaque mutuelle déciderait de la manière d'utiliser les fonds, ce qui serait plus efficace. [...]
[...] - Négativement : Si elle se dégrade, exemple : épidémie : elle va induire des effets sur le fonctionnement des entreprises - Positif : lorsque la santé est bonne, tout va beaucoup mieux pour tout le monde Par ailleurs la santé (ou les problèmes de santé) déborde de la dimension locale/nationale et a une dimension internationale. La santé n'a pas de frontières. La référence à la dimension mondiale nous permet de suggérer que la santé devrait être considérée comme un bien public mondial. [...]
[...] Tous les citoyens sont appelés à financer les dépenses de protection sociale. Elle se traduit par une importante redistribution des revenus. Cette redistribution est à la fois horizontale (indépendante des revenus) et verticale (aussi liée aux revenus). - L'égalité induit de traiter tout le monde de la même manière - Avec l'équité, on va traiter différemment des situations différentes. - La logique d'assurance : chaque actif cotise proportionnellement a son revenu, et reçoit en retour des prestations proportionnelles à ses cotisations. [...]
[...] Dans le contexte français les deux logiques sont mobilisées. La protection sociale est liée aux cotisations versées (donne droit mais avec la création de la CMU des personnes non assurées sociales peuvent bénéficier d'une couverture sociale. Le problème est que l'état providence est confronté à une crise de plusieurs natures. On peut identifier : - Une crise financière : on observe à la fois o une augmentation des dépenses de protection sociale vieillissement des populations, qui entraine plus de consommation médicale, un allongement de la durée de vie (la durée de vie allonge d'un an tous les quatre ans : donc plus de retraites et il y a moins d'actifs pour financer les retraites) ; les progrès technologiques (scanner, IRM, etc.) font que les couts de la santé sont plus élevés et une diminution des recettes. [...]
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