Région sous-sinusienne, reconstitution alvéolaire, sinus lift, traitement chirurgical, suivie implantaire, chirurgien dentiste, orthodontiste, gencive, dent, mâchoire
La région maxillaire postérieure est une zone où l'os est souvent résorbé : c'est le lieu où l'on perd le plus de dents (notamment les molaires) et donc c'est une zone où l'implantologie est souvent sollicitée. En effet, à l'examen clinique et radiologique et à un certain âge, on y observe souvent des alvéolyses même sans maladie parodontale.
[...] Le sinus est tapissé par une muqueuse sinusienne respiratoire ciliée. Elle a une action visant à éliminer les débris de façon mécanique, complétée par d'autres mécanismes. Plus haut dans le sinus nous avons l'ostium, par lequel s'évacuent les débris : il mesure 7-8 mm de diamètre sur crâne sec, mais avec la muqueuse ce diamètre est diminué. En cas d'obstruction, un empyème du sinus et sinusite peuvent se déclarer. Un sinus « sain », c'est le sinus dans son ensemble ainsi que la perméabilité de cet osmium : il est essentiel de faire des examens radiologiques de grande étendue pour les chirurgies sinusiennes, les sinus- lift, etc. [...]
[...] Ils peuvent durer 15 jours – 3 semaines. [...]
[...] La région sous-sinusienne : reconstitution alvéolaire et sinus lift La région maxillaire postérieure est une zone où l'os est souvent résorbé : c'est le lieu où l'on perd le plus de dents (notamment les molaires) et donc c'est une zone où l'implantologie est souvent sollicitée. En effet, à l'examen clinique et radiologique et à un certain âge, on y observe souvent des alvéolyses même sans maladie parodontale. I. Rappels : le sinus maxillaire - Volume variable : 10 à 12 mm3, variable d'un individu à l'autre en fonction de l'âge, du côté de la face, des édentations. [...]
[...] Ce comblement est dangereux selon le Dr Campan, car rien ne prouve que l'on n'ait pas transpercé la membrane sinusienne, nous pouvons avoir des complications postopératoires. Ainsi, cette technique n'est pas la meilleure avec les progrès de l'implantologie. Remarques : Summers utilisait les ostéotomes pour l'ostéocondensation latérale d'un os de faible densité et s'est rendu compte de cette utilité pour soulever la muqueuse sinusienne. b. Technique de Lazzara : Pour os de densité 1-2 Hauteur crestale résiduelle : 5-6mm Épaisseur crestale résiduelle : > 5 mm Forage d'emblée jusqu'au diamètre 3 mm puis ostéotome Même principe que la technique de Summers mais l'ostéotome n'est utilisée qu'après avoir utilisé plusieurs forets, car la corticale est plus épaisse. [...]
[...] Le volume peut être obtenu, quel que soit le matériau, ce que l'on demande c'est que cela soit pérenne et inoffensif. Concernant un mélange autogène/allogène, méthode actuelle : greffe combinée os autogène + Bio-Oss® pour augmenter la quantité Concernant la taille des particules : Globalement les « grosses » particules sont de diamètre de 1 à 2 mm et les « petites » sont de moins de 1 mm PRF Il est possible de le mélanger avec le Bio-oss® pour économiser du Bio- oss®. Action dans les premières phases de cicatrisation. Intéressant pour sinus-lift de grande étendue. [...]
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