a) Etude de la pression normale
Le premier enregistrement de la pression artérielle chez le rat, nous permet de voir les ondes du premier ordre. Qui correspondent a l'activité cardiaque de l'animal. Qui représentent deux activités du coeur successives, avec une amplitude moyenne de 3,36mV :
Une activité diastolique ventriculaire, la pression dans les ventricules (gauche et droit) s'abaisse par rapport au pic. Lorsque la tension du ventricule gauche s'abaisse en dessous de celle de l'atrium gauche, la valvule mitrale s'ouvre, et le ventricule gauche se remplit du sang qui s'était accumulé dans l'atrium gauche.
Une activité systolique ventriculaire, la pression dans les ventricules s'augmente en se contractant mais sans changer de volume, c'est la contraction isovolumètrique. Celle-ci permet d'augmenter la pression des cavités ventriculaires, et quand les valves s'ouvrent le sang est envoyé dans les artères : c'est l'éjection systolique. (...)
[...] L'abolition de l'essentiel de la réponse observée précédemment montre que le nerf de Héring qui innerve le sinus est un nerf sensitif qui informe par ses messages les centres nerveux cardiorégulateurs situés dans le bulbe rachidien. Bilan : Une boucle réflex nerveuse permet d'amortir les brusques variations de pression. Au moment d'une chute de pression détectée dans la carotide déclenche, par rétroaction nerveuse intégrée au niveau du bulbe, une stimulation cardiaque en diminuant l'activité parasympathique tandis qu'au moment d'une augmentation brusque de pression déclenche par le même mécanisme une diminution de la fréquence cardiaque. Dans les deux cas, la variation de pression est corrigée immédiatement, l'activité cardiaque étant un facteur essentiel de la pression artérielle. [...]
[...] Analyse des résultats : a)Etude de la pression normale : Le premier enregistrement de la pression artérielle chez le rat, nous permet de voir les ondes du premier ordre. Qui correspondent a l'activité cardiaque de l'animal. Qui représentent deux activités du cœur successives, avec une amplitude moyenne de 3,36mV : Une activité diastolique ventriculaire, la pression dans les ventricules (gauche et droit) s'abaisse par rapport au pic. Lorsque la tension du ventricule gauche s'abaisse en dessous de celle de l'atrium gauche, la valvule mitrale s'ouvre, et le ventricule gauche se remplit du sang qui s'était accumulé dans l'atrium gauche. [...]
[...] L'arrêt respiratoire provoque la diminution du taux oxygène dans le sang. Ce qui provoque une augmentation du dioxyde de carbone (CO2) dans le sang. C'est une Hypercapnies endogène, qui est souvent associée à une la chute concomitante du pH artériel qui est d'autant plus importante que le CO2 est élevé. ce qui provoque une vasoconstriction périphérique, d'où une hypertension. Stimulation du bout périphérique : Sur l'enregistrement, nous constatons une perturbation de l'activité respiratoire et les diastoles s'allongent c'est-à-dire durent plus longtemps: c'est la bradycardie pouvant s'achever par un arrêt du cœur en diastole. [...]
[...] Cela provoque une diminution de la pression artérielle. Sachant que l'activité pulmonaire et cardiaque sont liées et se régulent mutuellement, ce qui provoque des perturbations respiratoires. Les phénomènes d'échappement sont dû à la destruction de l'acétylcholine par la cholinestérase.car l'acétylcholine est une substance cardio-modératrice (ralentie l'activité cardiaque).Cette destruction de l'acétylcholine permet au cœur de repartir. Le centre neveux réagit à l'hypotension (due à la diminution de la fréquence cardiaque) par une vasoconstriction vasculaire, ce qui permet de remonter cette tension. [...]
[...] Fréquence respiratoire : nous avons observé environ 100 inspirations par minute (cela est normal pour un rat). Excitation du nerf pneumogastrique, Stimulation du bout central : Sur l'enregistrement ; il y a un arrêt respiratoire de l'animal, qui est dû à la stimulation du bout du nerf central. Dés la fin de la stimulation tout redevint à la normal. Cette arrêt respiratoire est dû à un fort envoi d'information en provenance des mécanorécepteurs vers le bulbe céphalorachidien. L'information est interprétée par ce dernier comme une alerte, signifiant une amplitude respiratoire et une tension pulmonaire trop importante. [...]
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