psychiatrie, grandes maladies, contrainte aux soins en psychiatrie, obligation de soin, addictions, suivi socio-judiciaire
- L'antiquité gréco-romaine : la psychiatrie existait déjà dans l'antiquité gréco-romaine. Hippocrate, médecin, avait une théorie : si on avait trop de bile issu de la vésicule biliaire on était plutôt maniaque (agité). Il s'intéressait déjà à l'étiologie (étude des différences de comportement entre les uns et les autres).
- Le moyen-âge : on va introduire l'observation clinique afin de relever les symptômes. On organise les premiers centres hospitaliers mais la psychiatrie n'y est pas intégrée, les fous étaient mis avec les pauvres et les voleurs et les médecins ne s'en occupaient pas.
- Le XVIIème siècle : création d'un l'hôpital général en 1656 qui a permis de regrouper tous les patients, y compris les fous. Développement par les médecins de l'observation des signes. En psychiatrie, on s'est mis à décrire précisément ce que pouvait nous dire les patients, leurs comportements, leurs humeurs, leurs sommeils...
Exemple : description de la dépression, de l'état manique -> quand plusieurs personnes ont les mêmes symptômes on les regroupe et on fait des syndromes.
- La naissance de la psychiatrie moderne : on la date à l'ouverte des 1ers hôpitaux psychiatriques vers 1793 et elle est liée à Philippe Pinel, psychiatre qui va libérer les fous : avant aucun traitement n'était proposé, donc certains étaient dans un état de furie, ils étaient attachés.
[...] ( Avant chaque maladie décrite dans son pays mais pas de circulation des informations. Le DSM 1952 = manuel diagnostic et statistiques des maladies mentales ( Crée pour se comprendre et pouvoir commencer les recherches sur les thérapies. DSM3 = en 1980 cela s'étant au monde entier et évolue selon la société. Exemple = dans ce manuel on décrivait l'homosexualité comme pathologique. Il est sorti du DSM par l'action des associations aux US qui ont démontré que ce n'était pas pathologique. [...]
[...] Aujourd'hui : les études montre qu'il existe un risque plus important de passages à l'acte dans la schizophrénie. Parmi les patients schizophrènes, certains facteurs de risque ont été identifiés : Délire actif Absence ou rupture de soins Absence total de conscience des troubles Consommation de toxiques associée à la maladie Antécédents de passages à l'acte Passages à l'acte criminels : rare, mais on retrouve un certain nombre de parricide ou matricide qui sont marqués par la froideur et la bizarrerie. [...]
[...] Chiffres sur la morbidité psychiatrique dans les prisons : 14% de troubles psychotiques dans les prisons dont de schizophrène fois plus que dans la population globale). Moment de l'expertise psychiatrique : la preuve de la culpabilité n'a pas encore été faite, l'expert va apprécier si la personne présente des troubles psychiatriques. L'expertise psychiatrique fait le lien entre : le trouble mental et les faits. Si présence de trouble l'expert va déterminer : Si on peut rattacher les troubles qu'il présente à l'acte. [...]
[...] Développement par les médecins de l'observation des signes. En psychiatrie, on s'est mis à décrire précisément ce que pouvait nous dire les patients, leurs comportements, leurs humeurs, leurs sommeils Exemple : description de la dépression, de l'état manique quand plusieurs personnes ont les mêmes symptômes on les regroupe et on fait des syndromes. * La naissance de la psychiatrie moderne : on la date à l'ouverte des 1ers hôpitaux psychiatriques vers 1793 et elle est liée à Philippe Pinel, psychiatre qui va libérer les fous : avant aucun traitement n'était proposé, donc certains étaient dans un état de furie, ils étaient attachés. [...]
[...] Signes et symptômes de la maladie : lorsque les fluctuations d'humeur dépassent en intensité ou en durée celles de l'humeur normale et qu'elles entraînent des altérations du fonctionnement ou une souffrance. Section 2 : L'état maniaque Etat maniaque = c'est l'inverse de la dépression c'est une exaltation de l'humeur, une euphorie, un optimisme excessif souvent avec une agressivité. ( Trouble bipolaire touchant la régulation et l'équilibre de l'humeur. Explication de l'agressivité : il y a une agressivité pcq dans la tête du malade ça va très vite : donc agressifs pcq les autres n'arrivent pas à le suivre (ex : pas le temps de finir une pensée qu'une autre arrive). [...]
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