Psychiatrie, rehab, neuropsychologue, rétablissement, remédiation cognitive, schizophronie, cognition sociale, trouble bipolaire, bilan neuropsychologique, handicap psychique
Le neuropsychologue est là pour faire le lien entre le fonctionnement cérébral, les fonctions cognitives, les composantes émotionnelles et les comportements du quotidien à travers les évaluations proposées.
Proposer différentes techniques va permettre d'améliorer, restaurer ou compenser les fonctions cognitives défaillantes.
Le neuropsychologue a pratiquement le même fonctionnement lorsqu'il exerce en psychiatrie. Sa pratique va diverger plutôt dans la façon dont on va utiliser les outils neuropsychologiques. La RPS est un positionnement par rapport au patient.
[...] Activités effort et récompense (répertorier les activités énergivores, intenses, douces, ressourçantes ; Objectif SMART (spécifique : simple sans ambiguïté, compréhensible, précis ; mesurable : son résultat est quantifiable ; atteignable, réaliste : pertinent, approprié au contexte et aux circonstances actuelles ; temporellement défini : limité en termes de délai et de date. Métacogiter : réfléchir sur sa façon de penser. C'est un exercice qui ressemble à de la résolution de problèmes. Strat encodage : psychoéducation sur la mémoire par exemple. Les patients réfléchis aux stratégies de mémorisation. [...]
[...] Si il n'y a pas de bilan, il est important de faire une évaluation des répercussions fonctionnelles avant le suivi car il va falloir fixer des objectifs clairs et précis à 3). L'adhésion au soin du patient va s'étioler, cela permet de mettre du sens. Il faut demander la temporalité des troubles observés, est-ce-que c'est apparu dans les 3 derniers mois ? Il faut que les faits soient récents. Le patient doit également quantifier la gêne sur une échelle de 1 à 5. Échelle sur les répercussions fonctionnelles : neurocognitives l'ERF Échelle sur les répercussions de la cognition sociale l'ERF-CS Rehab, RPS c'est quoi ? [...]
[...] Notre rôle est de signifier la plainte du patient, lui dire qu'elles existent mais il a réussi à mobiliser ses ressources dans un certain contexte. Le but est d'identifier dans quels autres contextes ses capacités ne seront pas efficientes. L'évaluation est un stress, le patient n'est pas toujours à l'aise, on passe par une période de réassurance où on explique comment l'évaluation va se dérouler. On tente d'apaiser le déroulement de la procédure. Si la personne n'a plus la capacité de se concentrer, faire une pause ou de reprendre l'évaluation plus tard. Il faut respecter son rythme. [...]
[...] Il faut être dans l'écoute active. Pouvoir d'agir si les personnes pensent qu'elles n'ont plus la capacité de faire (les patients peuvent penser qu'ils ne sont bons qu'à rester chez eux à prendre des médicaments). Sentiment d'espoir : si la personne a des envies et des objectifs on accompagne le patient pour atteindre ses buts. Bien que ça ne soit pas toujours le bon moment, la personne peut essayer, le professionnel pour réassurer, rappeler les objectifs si la personne échoue une première fois. [...]
[...] Ils ressentent des émotions mais ils rencontrent des difficultés à les identifier ce qui amène à des réponses non adaptées. Style attributionnel ToM Troubles bipolaires Troubles bipolaires : pathologie qui se caractérise par des cycles entre des phases aigües (dépression, manie, état mixte, hypomanie) et des périodes d'euthymie. L'intérêt du bilan neuropsychologique : il permet de mieux comprendre les difficultés rencontrées dans le quotidien. Il permet d'identifier les forces et les stratégies d'adaptation déjà existantes. Il permet d'éclairer le fonctionnement d'une personne et de mettre en avant son profil cognitif. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture