Principales méthodes contraceptives, contraception satisfaisante, méthodes contraceptives, stérilet, contraceptions particulières, stérilisation humaine
- Méthodes barrières : empêchent les spermatozoïdes d'être émis dans le milieu
vaginal -> préservatif féminin (2 anneaux avec un film de polyuréthane, utile pour les couples allergiques au latex) et préservatif masculin.
- Spermicides : agents toxiques contre les spermatozoïdes
- Contraception oestroprogestative intra vaginale : Nuvaring = anneau que la femme plie et s'introduit dans le vagin, il se déplie et assure la contraception pendant une semaine (3 semaines avec un anneau par semaine puis une semaine sans anneau, règles, etc.). Rares sont les hommes qui sont gênés par la présence de
l'anneau en intra vaginal.
[...] Spermicides : d'échec en utilisation parfaite et 29% dans la vie courante Retrait : environ idem abstinence Préservatif : si bien utilisé taux excellent, mais dans la vie réelle on a entre 13% d'échec (ici l'étude donne qui se répartissent en de glissement (verge molle qui laisse glisser le préservatif a la fin du rapport) et de craquement (du à un défaut de mise en place du préservatif). Connaissant ces 13% d'échec on a intérêt de prescrire au couple une contraception d'urgence (Norlevo) au cas où. III) Les méthodes contraceptives Méthodes non hormonales Méthodes naturelles : plus anciennes mais toujours d'actualité fondées sur l'autoévaluation et le contrôle de soi même. Retrait = éviter l'éjaculation intra vaginale, mais l'autocontrôle de l'homme est parfois difficile, et des spermatozoïdes peuvent être présents dans le liquide pré éjaculatoire. [...]
[...] Malheureusement cela arrive (phlébite embolie pulmonaire, infarctus du myocarde ) Acceptabilité des effets secondaires (prise de poids, pilosité, diminution de libido) Coût Efficacité contraceptive comparée : les chiffres n'ont pas changé depuis dix ans. Pilules et micropilules = indice de Pearl à mais en utilisation réelle on a qui s'expliquent par des problèmes d'observance. Taux de continuation à 1 an de 68% d'abandon). Même analyse pour le patch et l'anneau vaginal. Injections de progestatifs par voie intramusculaire tous les trois mois, surtout utilisés chez des personnes handicapés avec déficit mental ou intellectuel important et pour lesquels on ne peut pas s'assurer qu'elle va prendre sa pilule. [...]
[...] L'efficacité contraceptive n'est obtenue qu'après la prise des 14 premiers comprimés. En cas d'oubli et quel qu'en soit le délai : continuer la prise en ajoutant une contraception locale pendant les 14 prochains jours. Effets secondaires : métrorragies, spotting, aménorrhée, facteur de risque de GEU, pas d'augmentation du risque thromboembolique L'implant sous cutané (Nexplanon) : bâtonnet souple (4cm de long, Ø 2mm) à la face interne du bras non dominant délivrant en continu un progestatif type etonogestrel. Insertion chirurgicale avec un pousse seringue. [...]
[...] Principales méthodes contraceptives Introduction Chiffres : Le nombre d'IVG reste important en France : 220 000/an Il y a très peu d'évolution de ces chiffres depuis plus de 10 ans. Les populations à cibler sont les adolescentes et les femmes de plus de 40 ans. Histoire : La contraception est une notion ancienne, on retrouve sur les papyrus égyptiens des méthodes de contraception (mélange acacia et dattes dans le vagin, ou encore pessaire contenant des excréments de crocodile). Plus récemment, usage du préservatif (Casanova avait un préservatif en lin). Puis découverte du caoutchouc par Goodyear : révolution pour le préservatif. [...]
[...] Voie vaginale : colpotomie. Endoscopies : Coelioscopie : pneumopéritoine, open-coelioscopie, électrocoagulation, section, anneaux de Yoon, clips de Filshies, Hulka. Hystéroscopie : ESSURE Le dispositif intra tubaire (DIT) ESSURE : C'est un dispositif dérivé des stends coronariens utilisés aux Etats- Unis. A l'époque ces stends étaient utilisé pour dilater les coronaires alors que les stands tubaires sont faits pour boucher les trompes. Il y a 3 systèmes : Un système externe qui est fait d'un ressor (4cm de long et 25 tours de spires) et qui permet de maintenir le dispositif dans la trompe A l'intérieur il y a un deuxième système de spires inertes sur lequel il y a des fibres de polyéthylène et qui permettent de sténoser la trompe. [...]
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