Physiologie du vieillissement, fonctions organiques, état pathologique, mort cellulaire, ADN, ARN, altérations physiologiques, altérations du génome, oxydation cellulaire, manifestations physiologiques du vieillissement
Jusqu'aux années 1950-1960, on considère le vieillissement comme une maladie, le sujet s'use avec le temps en raison de la diminution du capital cellulaire. Il était considéré comme normal la présence chez le sujet âge de troubles intellectuels, de troubles de la continence, de troubles cardiaques... Puis le concept a changé, puisqu'on trouve dans la population âgée des personnes non malades et dont les fonctions organiques étaient encore normales.
[...] Les changements ostéo-musculaires Diminution de la masse musculaire probablement par l'interaction de mécanismes myogène et neurogène l'atrophie musculaire est particulièrement nette pour les fibres de type rapide, glycolytique. Les conséquences fonctionnelles sont : - diminution de la contraction maximale isométrique - diminution de l'endurance C. Les changements cardio-vasculaires Ils sont le résultat de l'augmentation des résistances périphériques, diminution de l'élasticité aortique, une hypertrophie ventriculaire gauche se développe. Le débit cardiaque est maintenu malgré une tendance à la bradycardie, compensée par une augmentation du volume systolique. En revanche, l'adaptation cardio vasculaire au stress est réduite. D. [...]
[...] Les changements métaboliques et endocriniens Ils sont complexes : exemple : - insu lino - sécrétion : tendance à l'hyperglycémie postprandiale - diminution des hormones sexuelles - vieillissement du système neuroendocrine hypothalamus - hypophysaire. Diminution du taux du métabolisme de par décennie. E. Le vieillissement immunitaire Avec le vieillissement, certaines fonctions immunitaires normales peuvent diminuer. On observe une diminution des réactions d'hypersensibilité cutanée retardée vis-à-vis d'antigène d'utilisation courante. Le taux d'anticorps naturels circulants diminue également systématiquement. Conclusion De nombreux changements morphologiques et physiologiques s'associent au processus du vieillissement. À eux seuls, ces changements ne causent pas de véritable invalidité. Il est de ce fait concevable de vivre un vieillissement “en bonne santé”. [...]
[...] La théorie génétique Le processus du vieillissement cellulaire serait programmé génétiquement. Il existe une horloge génétique interne qui exprime le phénotype sénescence et dont l'expression, est, lié à un nombre prédétermine de divisions cellulaires. En plus des altérations physiologiques, peuvent provenir d'altérations structurelles du génome. B. La théorie cellulaire Les radicaux libres instables, le produit des réactions d'oxydation cellulaire, peuvent endommager les molécules d'ADN, les protéines cellulaires . Des contaminations de l'environnement peuvent augmenter la production et l'accumulation de ces radicaux libres dans l'organisme dispose d'argents antioxydants (carotène, vitaminé E ? [...]
[...] Physiologie du vieillissement Jusqu'aux années 1950-1960, on considère le vieillissement comme une maladie, le sujet s'use avec le temps en raison de la diminution du capital cellulaire. Il était considéré comme normal la présence chez le sujet âge de troubles intellectuels, de troubles de la continence, de troubles cardiaques . Puis le concept a changé, puisqu'on trouve dans la population âgée des personnes non malades et dont les fonctions organiques étaient encore normales. L'objectif était alors de traiter les facteurs de risque afin de diminuer la prévalence de maladies. [...]
[...] (Capillaire, peau, rien ) II. Les manifestations physiologiques du vieillissement Elles sont une diminution graduelle du fonctionnement de tous les systèmes et appareils. Il s'en suit une dégradation des capacités des systèmes homéostatiques de répondre aux stress environnementaux au cours du vieillissement. En revanche, il n'y a pas de changement notable des fonctions basales. Le niveau de la baisse des réserves fonctionnelles avec le vieillissement diffère d'un système à l'autre, plus significative sur certains organes (cœur, poumons, rien, cerveau) A. [...]
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