On est en droit de se demander : les musulmans avancent que le Coran parle des remèdes contenus dans le miel, tout en sachant que de nombreuse nations, tels les Pharaoniens, les Grecs, les Romans... l'utilisaient autant que remède, et qu'il fut déjà cité dans les autres Livres Saints ; en quoi donc consiste la nouveauté dans le Coran et où ce miracle réside-t-il donc ? La réponse s'éclaircit dans les 3 points suivants (...)
[...] Ils ont constaté que le miel a eu un rôle primordial de protection du colon contre l'agression de cet acide. m. le miel et le cuir chevelu : Le Dr Willis a conclu, en fin de son étude, que le miel, en traitement local, peut très bien, améliorer les symptômes de la dermatite séborrhéique, et empêche la survenue de rechute s'il est utilisé une fois par semaine Portrait du miel Composition chimique Selon la flore mellifère butinée par les abeilles, les miels diffèreront par leurs couleurs, leurs saveurs, et les proportions de leurs composants. [...]
[...] a. les microbes ne résistent pas au miel : Tel est le titre d'un article publié dans la revue Lancet infect Disease, en Février 2003. Dans cet article, le Dr Dixon confirme la grande efficacité du miel à contrôler, irrésistiblement, un grand nombre de microbes. Il finit par recommander le miel comme traitement des brûlures et des plaies. Tous les types de miel rapporte le Pr Molan - ont un pouvoir anti-microbien, malgré que certains sont plus efficaces que d'autres. [...]
[...] Issus des prairies de moyenne / haute montagne, ces miels toutes fleurs concentrent les essences de bleuet, chardon, trèfle, aubépine, serpolet, bruyère, thym, baies, sapin et châtaigner. Ils sont récoltés en fin d'été. Les miels de forêt: Onctueux et ambrés, à la saveur un peu sauvage, ces miels (nectar/miellats) chauds et veloutés ont été butinés sur les fleurs des sous bois, les ronces et les bruyères, ainsi que sur les chênes et châtaigniers ; ce qui leur donnent leur incomparable bouquet boisé. Les miels uni fleur sont eux conçus à proximité d'une grande quantité de fleurs de même espèce tels les champs de lavande. [...]
[...] En Occident, le miel fut pendant des millénaires le seul édulcorant connu, alors qu'en Orient on cultivait la canne à sucre. Tout au long de l'histoire, une mythologie s'est développée autour du miel, soulignant ses nombreuses propriétés médicinales (le miel serait purificateur, antiseptique, tonifiant, sédatif, fébrifuge, apéritif et digestif) et l'érigeant en symbole de vie et de richesse. À l'origine, le miel était rare et fut d'abord réservé au culte religieux, aux nantis et à des utilisations médicinales. On s'en servait entre autres pour vénérer les dieux, pour baptiser, pour nourrir les animaux sacrés, pour soigner, pour embellir la peau, pour embaumer les morts. [...]
[...] C'est à l'apiculteur d'être vigilant : dès qu'il s'aperçoit que la production de nectar diminue à un endroit, il part en transhumance avec ses ruches. La pureté des miels unifloraux permet suivant des critères physico-chimiques et organoleptiques décrits précédemment, de déterminer leur origine (nectar et miellat). Selon Monsieur Rieusset, apiculteur à St Drezery, les miels de miellat ont un goût plus prononcé et une couleur plus foncée que les miels issus de nectar Référence : Coran, version française. Apiculture, techniques et bénéfices secondaires de la piqure par abeille. Mémoire de recherche 2003. Abeille : reine du sacré. Education à la santé. Sidi Bouzid, 2004. [...]
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