La ventilation apporte de l'oxygène (O2) présent dans l'air ambiant,puis l'hématose (qui se produit dans les poumons) est l'échange gazeux au niveau de la barrière alvéo-pulmonaire, le sang transporte l'O2 jusqu'aux tissus, qui rejette dans celui-ci le dioxygène de carbone (CO2) appelé également déchet de la respiration. Enfin, l'expiration évacue le CO2 à l'extérieur.
Le poumon reçoit le sang veineux, issu du coeur droit, puis assure l'hématose, le sang est ensuite aspiré par la pompe du coeur gauche. Les coeurs gauche et droit ont des fonctions différentes bien séparés (sauf en cas de malformations. Citons l'exemple des enfants bleus) Leurs pressions internes sont différentes (...)
[...] L'élasticité est la force qui rétracte le poumon sur lui-même. Pour inspirer il faut donc contrer cette force. La dépression pleurale (le vient coller la plèvre pulmonaire plèvre viscérale) et la plèvre thoracique ( =plèvre pariétale). Elles peuvent glisser l'une contre l'autre grâce à un lubrifiant, le liquide pleural. Un coup de couteau entre les côtes, qui transperce la cavité entre les deux plèvres abolit la liaison entre celles-ci, qui ne coulissent plus, la dépression pleurale est abolie : c'est le pneumothorax. [...]
[...] Le système respiratoire : Les mesures I. Généralités A. Le schéma de la respiration POUMON (hématose) COEUR DROIT COEUR GAUCHE TISSUS La ventilation apporte de l'oxygène présent dans l'air ambiant,puis l'hématose (qui se produit dans les poumons) est l'échange gazeux au niveau de la barrière alvéo-pulmonaire, le sang transporte O2 jusqu'aux tissus, qui rejette dans celui-ci le dioxygène de carbone ( CO2)appelé également déchet de la respiration. Enfin, l'expiration évacue le CO2 à l'extérieur. Le poumon reçoit le sang veineux, issu du cœur droit, puis assure l'hématose, le sang est ensuite aspiré par la pompe du cœur gauche. [...]
[...] C. Le cycle respiratoire Un cycle respiratoire est fait d'une inspiration et d'une expiration. La norme est de 16 cycles par minute. Bien évidemment, cette mesure et modifiable et variable, selon l'hygiène de vie (tabac, sport . ) Pour mesurer le volume résiduel après chaque cycle respiratoire, on utilise un traceur pour receuillir des échantillons. Le pneumotachographe C'est une méthode légère, sans eau (ce qui limite les infections) qui mesure les débits d'air. On évalue les pressions et les débits. [...]
[...] Lors de l'examen des «gaz du sang» (effectué dans n'importe quelle artère) on mesure la pression partielle Pp en O Pp(O2) = pression totale . Fraction d'O2 dans l'échantillon de sang prélevé = (Pb Pi(O2)) . F(O2) = (760 47) . F(O2) Avec: Pb = pression atmosphérique en mmHg = 760 mmHg Pi = pression de l'O2 dans l'échantillon Les normes de pression sont Pp(O2) = Pression Artérielle en O2(Pa(O2)) = 12KPa (soit 90mmHg) et Pp(CO2)= Pa(Co2) = 5,5KPa ( soit 55 mmHg). [...]
[...] Les mécanismes respiratoires A. Les forces actives On ne réfléchit as à sa respiration, ce sont des muscles 'automatiques' mais que l'on peut néanmoins contrôler ( on peut réguler sa respiration). Le diaphragme monte et descend en fonction de l'inspiration et de l'expiration . L'inspiration fait appel à des forces actives (grâce aux diaphragme et aux muscles inter-costaux) quand l'expiration se fait par des forces passives, qui peuvent devenir actives lors de l'expiration forcée. Les abdominaux et les muscles inter-costaux internes se contrôlent alors. [...]
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