Les pratiques chirurgicales les plus courantes et la pharmacopée gréco-latine sont un peu laissées de côté. On a tendance à traiter surtout par les simples et souvent avec empirisme. À cela s'ajoutent des prières, le recours a l'exorcisme, l'imposition des mains, les amulettes. On a également beaucoup recours aux reliques de simples et dans ce domaine, on donne toujours pour exemple le « touché royal » = privilège des rois de France et d'Angleterre. Pratique solennelle qui était censée guérir les écrouelles (lésion scrofuleuse, cou). Donc le roi s'approche du malade « le roi te touche, dieux te guérit ». Elle a existé de Clovis (5e siècle) jusqu'à Charles X (19e siècle).
[...] La fac de médecine voit d'un mauvais yeux le collège de St Côme et de St Damien. On arrive début 16ème a un compromis établissant une distinction entre les : médecin, chirurgien barbier et chirurgien Il faudra attendre louis pour que la chirurgie soit considérer comme une discipline a part entière Pharmacie L'apothicarius issu des couvents c'est laïcisé et donc le nom d'apothicaire apparait dans le livre des métiers. Les apothicaires et épicier été très rivaux tout cela va durer jusqu'en 1484 (édit Charles VIII). [...]
[...] La médecine au moyen âge Introduction Longue période. Début = 476 cad à la chute de Rome Le dernier empereur romain est déposé/renversé par un roi Barbare Odoacre. A ce moment la déferle sur l'Europe des vagues barbares successives : Ostrogoths, Vandales, Wisigoths ( ils détruisent toutes et font donc table rase de la culture Greco romaine. Un long crépuscule s'abat sur l'Occident. En matière de soins, la religion et la superstition se réinstallent et la prière et loi bénite remplace peu à peu Hippocrate et Galien. [...]
[...] Lors de ce concile, l'église affirme avec force l'interdiction de toutes activités médicales aux religieux. Pour 2 raison - Détourne les religieux de la religion - Pas très moral Donc certains religieux, notamment les moines quittent alors leur ordre pour aller exercé l'apothicairerie et la médecine en ville d'où une laïcisation de ces professions. Cependant, cette interdiction n'été pas très prise en compte. Les pratiques chirurgicales les plus courantes et la pharmacopée gréco- latine sont un peu laissées de côté. [...]
[...] Ils se groupent dans un collège/confrérie que l'on appel la confrérie de St Côme et St Damien = se sont a la fois des St patron des médecins chirurgien, sage femme Cette confrérie figure au livre des métiers. Il recense les métiers important du moyen âge. Et eux sont plus savants et ils tendent à se rapprocher des médecins. - D'autre part il y à les barbiers = chirurgien barbier de robes courtes. Ils font toutes las basses besogne cad pratiquer les saignées, s'occuper des bosse, plaies. [...]
[...] Une autre personne fait beaucoup pour la culture des simples : Hildegarde de Bingen qui est la supérieures d'un monastère et elle ajoute aux connaissances acquises l'arnica, piloselle. On trouve dans chaque couvent un moine Apotecarius cad chargé de tout ce qui est médicament, apothicairerie. Il est a la fois médecin et pharmacien ».son importance est telle qu'il vient en second dans la hiérarchie des moines juste après l'abbé, le supérieure. Lui seul garde la clef. Il possède aussi un laboratoire avec des instruments et des livres de recettes de médicament. [...]
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