* Pharmacodynamie
Il y a un temps de latence entre l'administration des AVK et leur effet, car une fois la production des facteurs de coagulation bloquée, il faut attendre qu'ils soient éliminés. L'inverse est vrai lors de l'arrêt du traitement.
L'antidote des AVK est le PPBS (prothrombine, proconvertine, facteur de l'hémophilie B, facteur stuart), on l'utilise lors de surdosages aiguës.
Les AVK sont utilisés après le traitement à l'héparine parentérale.
Les AVK étaient utilisés dans la mort aux rats. (...)
[...] Donner du G30 pour corriger l'hypoglycémie. Rechercher le pouls, la tension, la température, la saturation. Rechercher un syndrome de compression. Prélèvement de sang, d'urine et/ou de liquide gastrique. -Puis on traite les symptomes : Vomissement et lavage gastrique pour éliminer ce qui reste, et on donne du charbon activé qui va diminuer l'absorption digestive. Augmenter l'épuration rénale grâce à une dialyse qui induit une diurèse osmotique alcaline. Pratiquer l'épuration extra-rénale si possible par dialyse (éthylène glycol). -Traitements spécifiques : Chélateurs des métaux lourds (desféral pour le fer, dimercaprol pour le plomb, L'immunothérapie grâce à des Ac dirigés contre le toxique. [...]
[...] hypokaliémie. ¤myopathie cortisonique, rupture tendineuse. ¤Inhibition hypothalamo-hypophysaire. ¤Vergetures pourpres, atrophie épidermique, dermique et hypodermique, retard de cicatrisation, troubles de la pigmentation, ecchymoses, érythrose. -Autres : ¤Ulcères gastro-duodénaux, oesophagiens, intestinaux, coliques et rectaux. ¤Perforations. ¤Pancréatite aiguë ou chroniques. ¤Infections (à cause de l'immunosuppression) : tuberculose, mycobactéries atypiques, herpès, varicelle, maladie de Kaposi (HHV8), parasites, pneumocystose, toxoplasme, gale, aspergillose). ¤Rares : neuro-psychique stimulant, hypersensibilité (urticaire, choc anaphylactique), thrombose veineuse, effets oculaires. Contre-indications / surveillance Les corticothérapies sont dangereuses pour l'enfant. Il n'y a pas de vraies contre-indications, mais il faut penser à prévenir les effets indésirables. [...]
[...] Il est important de noter la date de la prise du médicament, pour établir la chronologie de sa toxicité. On fait aussi des études épidémiologiques, qui consistent en l'étude cas- témoins de la suivie d'une cohorte. Les médicaments seraient responsables de 4 à des malformations. Tératologie Dans beaucoup de cas, le diagnostic de malformation est impossible de part un avortement. -Les effets les plus courants sont : Le retard de croissance. La microcéphalie. Les malformations majeures (anomalies de membres). Les malformations mineures (doigt surnuméraire). Des anomalies fonctionnelles. Le retard mental. [...]
[...] Les précautions d'emploi sont : -Les troubles urètro-prostatiques avec risque de rétention aiguë d'urine. -L'insuffisance coronarienne (augmente le travail cardiaque). -L'hyperthyroïdie (qui aggrave la tachycardie). -La bronchite chronique. -L'atonie intestinale. Les effets indésirables sont : -Sur le SNC : somnolence, délire, hallucinations, excitation. -Oculaires : trouble de la vision rapprochée, photophobie, glaucome aiguë, conjonctivite. -Respiratoires : difficultés d'expectoration, augmentation du rythme respiratoire. -Cardiovasculaires : tachycardie, arythmie, rougeurs cutanées. -Fièvre. -Constipation, difficultés de miction. Il y a des interactions : -Antidépresseurs tricycliques (anti- cholinergiques). [...]
[...] Il modifie la pharmacocinétique du gardénal. Il est efficace entre 50 et 100(g. Effets secondaires Les anti-épileptiques entraînent : -Au niveau du sang : Une anémie mégaloblastique (par carence en acide follique). Une leucopénie avec agranulocytose. Une thrombopénie. -Au niveau de la peau et des phanères : Un exanthème morbidiforme (ressemblant à une rougeole). Des effets de la phénytoïne (hypertrophie gingivale, pigmentation cutanée et hypertrichose). -Au niveau du SNC : Dépression : intoxication aiguë (troubles de la vigilance, signes cérébello-vestibulaires, signes d'atteinte du tronc cérébral), intoxication chronique (lassitude, besoin exagéré de sommeil) Stimulation : insomnie, irritabilité, psychose aiguë inter-critique, manifestations extra- pyramidales (type parkinsonien), recrudescence des crises. [...]
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