Maladie de Parkinson, dopamine, syndrome parkinsonien, épidémitologie, physiopathologie, Locus niger, corps de Lewy, tremblement, signe clinique, rigidité parkinsonienne, diagnostic différentiel, dégénérescence, maladie de Wilson, syndrome parkinsonien vasculaire, agonistes dopaminergiques
Ce document contient un cours de médecine portant sur la maladie de Parkinson. Découverte par M. Parkinson, c'est une maladie connue depuis 1800 mais qui a ses premiers traitements vers 1970. Il existe des formes très différentes de la maladie de Parkinson.
[...] La maladie de Parkinson HISTOIRE Découverte par M. Parkinson, c'est une la maladie connue depuis 1800 mais qui a ses premiers traitements vers 1970. Il existe des formes très différentes de la maladie de Parkinson. C'EST UN MANQUE DE DOPAMINE. Maladie de Parkinson à différencier du syndrome parkinsonien. La maladie est la première cause des syndromes parkinsoniens. En quelques dates : 1817 : description des princeps par Sir James Parkinson « la paralysie agitante » 1868 : Trousseau - 15[ème] leçon de clinique médicale 1872 : Charcot - 5[ème] leçon - la « maladie de Parkinson » 1919 : Tretiakoff - atteinte du locus niger 1960 : déficit de dopamine 1970 : 1[er] traitement par L-Dopa (traitements à base de dopamine) 1993 : développement de la stimulation cérébrale par Ben Abib à Grenoble. [...]
[...] Assez révélateur d'une potentielle MP. Ces symptômes font l'objet de nombreuses recherches pour anticiper et prévenir l'apparition de la maladie. Valeur diagnostique des signes non-moteurs Bonne évaluation si association de plusieurs signes. Trouble comportemental en sommeil paradoxal (TCSP) : spécificité 50% mais sensibilité faible. Risque de MP passe de 14 à 65% sur 5 ans si pluralité de signes Valeur prédictive positive d'un signe isolé reste faible. Tous ces symptômes restent variables d'une personne à l'autre. Les symptômes et l'évolution peuvent être très différents. [...]
[...] Photo flèche de droite). Cliniquement, patients qui s'aggravent beaucoup plus rapidement que MP. Ces signes ne sont pas obligatoires mais en faveur d'une AMS. Les AMS ont aussi des dystonies (position figée) : Sorte de crampe qui va figer le pied ou un autre membre dans une position anormale. Avec une dose de dopamine, le pied se remet normalement. Dans l'AMS le pied reste comme ça. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSNP) = Différents de l'AMS qui est plus « avant » = retrocolis vers l'avant. [...]
[...] Syndrome parkinsonien symétrique avec des troubles de la marche dans un premier plan. Il peut apparaitre dès qu'il y a des lésions vasculaires ou des AVC au niveau de NGC bilatéraux. IRM = aspect criblé (des trous) des noyaux gros centraux. Cela touche aux boucles cortico-striatales qui explique le syndrome parkinsonien. Les membres inférieurs sont très ralentis, il y a du freezing, marche à petits pas . Traitement : La dopamine fonctionne moins bien mais on essaye tout de même de leur donner le même traitement que les parkinsoniens. [...]
[...] Il va rapidement atteindre des limites. Donc on passe à la L-Dopa Les effets secondaires : Moins bien tolérés (stimulation directe, demi-vie plus longue) Mais ils retardent l'apparition des dyskinésies à étude comparative prospective en double aveugle : 70% des patients sous Requip (avec ou sans adjonction L-dopa) n'ont pas de dyskinésie à 5ans contre seulement sous L-dopa exclusivement. Cas particulier : apomorphine en S/C Stylo injecteur ou pompe Effets indésirables : nausées, hypotension orthostatique, hallucinations, troubles du comportement, cauchemars, somnolence Il peut donner des TCI à Trouble du Contrôle des Impulsion. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture