Infections génitales, infection sexuellement transmissible, syphillis, blennorragie, complications infectieuses
Principales bactéries responsables des IG et IST : T. pallidum , N. Gonorrhoeae, C. Trachomatis,
Mycoplasma spp, (H. ducreyi, Gardnerella vaginalis, S. agalactiae , etc...)
Phase pré-analytique :
Contexte clinique : importance fondamentale de interrogatoire +++
Type de lésion : écoulement purulent, lésions douloureuses, lésions indolores
Comment prélever : écouvillons, curettes (les plus utilisées), exocets. Les bactéries des IST sont
localisées en intracellulaire dans l'épithélium
urétral, il faut faire un grattage endo-urétral pour les prélever.
[...] Pour savoir si l'enfant est atteint, il faut doser les IgM, qui sont les seules im m unoglobulines à ne pas se transm ettre de la m ère à l'enfant. Fréquente en France, touche toute la population A été une m aladie à déclaration obligatoire jusqu'en juillet 2000 Forte augm entation de la syphilis après l'arrêt de la déclaration obligatoire. Outils diagnostic au laboratoire : La coloration de Gram ne sert à rien sur la syphilis La bactérie est non cultivable Mise en culture des sérosités sur testicule de lapins, perm et de récupérer des antigènes Mise en évidence de spirochètes par coloration argentique ou au m icroscope à fond noir Détection de la réaction de l'hôte par sérodiagnostic Confirm ation d'un test positif par la technique de FTA absorbé (test par im m unofluorescence) Conduite à tenir : Diagnostic direct : à partir des sérosités au niveau du chancre ou à partir des plaques m uqueuses et des syphilides cutanées érosives. [...]
[...] Rôle pathogène infection génitale haite chez la fem m e. Mycoplasm a genitalium : rôle pathogène IGB et IGH hom m e et fem m e. La prévalence chez les gens à risque est de l'ordre de 8-12%. Donne des urétrites chroniques, la détection se fait uniquem ent par PCR. Pour le prélèvem ent on utilise un exocet, le bactopick (ressem ble à un pas de vis), que l'on enfonce deux trois cm dans l'urètre pour récupérer les cellules, car le pathogène est intracellulaire. [...]
[...] Traitem ent : Par β-lactam ines et Quinolones. Spectinom ycine utilisée uniquem ent pour traiter les urétrites, il n'existe aucune résistance à cet antibiotique qui tend à devenir le traitem ent de prem ière intention. Com plications infectieuses : Hypothèse diagnostique : gonococcém ie Articulaire : arthrite du genou avec liquide articulaire purulent avec Cocci à Gram négatif a l'exam en m icroscopique du liquide articulaire. Rôle du laboratoire : diagnostic direct du liquide articulaire, aspect m acroscopique, aspect cytologique, exam en direct, culture et identification et antibiogram m e Traitem ent : Repos au lit Ceftrioaxone : 1gr IV ou IM pendant 15 jours Traitem ent sym ptom atique de la douleur : antalgiques Autres pathogènes potentiels : Mycoplasm es uro-génitaux : Différents types : Ureaplasm a urealyticum : com m ensal, retrouvé chez 50% des fem m es au niveau vaginal, rôle pathogène dans les urétrites non gonoccociennes non chlam ydiennes (UNGNC) aigues ou chroniques. [...]
[...] Elle est spécifiquem ent hum aine Elém ent pathognom onique du diagnostic : Présence de Cocci à Gram en grains de café à l'exam en direct. Délai d'incubation de 2 à 5 jours et présentation clinique Elém ents de thérapeutique : Prévention : Toujours traiter : m êm e en l'absence de localisation extra-génitale. Un traitem ent m onodose suffit en cas d'infection aigue. Toujours m ettre en culture pour faire un antibiogram m e Rechercher d'autres IST (virus et bactéries). [...]
[...] Infections génitales et IST Introduction Principales bactéries responsables des IG et IST : T. pallidum , N. Gonorrhoeae, C. Trachom atis, Mycoplasm a spp, (H. ducreyi, Gardnerella vaginalis, S. agalactiae , etc . [...]
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