Pharmacie - Santé - Social, Impact du stress chronique, nature du stress chronique, épuisement, maladaptation, hypersensibilité, céphalées, asthénie, irritabilité, cortisol, maladies chroniques, activité sportive, méditation
Lorsque les agents stresseurs sont trop intenses ou perdurent, on assiste à une phase d'épuisement. Dans des situations de stress chroniques ou intenses, la permanence des stresseurs empêche la récupération et le retour à l'équilibre (la résilience), et des traces perdurent dans l'organisme sous forme de symptômes biologiques et psychologiques. Les changements pathologiques se révèlent dans les jours, les semaines, voire les années qui suivent les évènements stressants par une dérégulation des systèmes de stress correspondent à ce qu'on appelle une maladaptation.
[...] Comprendre l'impact et la nature du stress chronique Lorsque les agents stresseurs sont trop intenses ou perdurent, on assiste à une phase d'épuisement. Dans des situations de stress chroniques ou intenses, la permanence des stresseurs empêche la récupération et le retour à l'équilibre (la résilience), et des traces perdurent dans l'organisme sous forme de symptômes biologiques et psychologiques. Les changements pathologiques se révèlent dans les jours, les semaines, voire les années qui suivent les évènements stressants par une dérégulation des systèmes de stress correspondent à ce qu'on appelle une maladaptation. [...]
[...] Cependant, elle n'est pas toujours spontanée et différentes pratiques permettent de lutter contre le stress qui devient chronique. Les pouvoirs préventifs du sport sur les maladies chroniques Nous le savons tous, une activité physique régulière est depuis longtemps recommandée par les médecins et les spécialistes pour rester en bonne santé. Le sport plus particulièrement le sport collectif est préconisé comme traitement médicamenteux contre les divers types de dépressions qu'elles soient légères ou modérées. De nombreux travaux de recherche ont démontré que des effets équivalents aux antidépresseurs avaient été relevés chez des individus pratiquants une activité physique. [...]
[...] • Aboulie (manque de volonté), perte de l'intérêt pour le travail et les loisirs, l'impression d'un avenir bouché. • Irritabilité caractérielle, avec les troubles relationnels qui s'en suivent. Origine des symptômes La sécrétion continue et accrue de cortisol qui a pour conséquences : • Diminution de l'expression des récepteurs du cortisol au niveau de la membrane des neurones hypothalamiques > levée du rétrocontrôle négatif dû au cortisol et donc sécrétion accrue de cortisol (cercle vicieux). • Modification des connectivités synaptiques de certaines régions du cerveau : o Au niveau de l'hippocampe et du cortex préfrontal : diminution de l'arborisation des neurones, rétractation des dendrites > diminution des connexions synaptiques entre neurones : ▪ Conséquences (hippocampe) : troubles de la mémoire spatiale et de l'apprentissage, ▪ Conséquences (cortex préfrontal) : altération de l'attention, de la mémoire de travail et la flexibilité comportementale. [...]
[...] La aussi une différence significative est observable entre les deux groupes, ou les personnes sédentaires sont moins conviviales par rapport aux personnes sportives. La méditation Le principe de la méditation est bien connu pour apaiser l'esprit et pour savoir gérer son équilibre émotionnel. Qu'importe la pratique employée, les personnes qui méditent deviennent beaucoup moins sensibles face au stress et contrôlent bien mieux leurs émotions. Si nous prenons l'exemple de la méditation de pleine conscience, une technique issue du bouddhisme, celle- ci apprend à développer une présence non réactive aux pensées et aux émotions. [...]
[...] Pratiquer la médiation à raison de quatre à six fois par semaine réduirait considérablement le niveau de stress d'un individu souffrant de stress chronique. Mais d'autres méthodes aussi efficaces sont à expérimenter pour soigner le stress chronique d'une personne qui sont : • La thérapie • Un changement d'environnement. • Un changement de mode de vie. Il faut garder à l'esprit que la prise de médicaments tels que les antidépresseurs par exemple ne sont pas forcément nécessaires pour soigner ce problème en question. [...]
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