Le diabète est un manque ou une mauvaise utilisation de l'insuline.
Si le glucose ne reste pas dans les cellules apparaît une hyperglycémie et une glycosurie.
Cétonurie : les cellules n'ont pas de glucose donc elles se rabattent sur les lipides et produisent des déchets : l'acétone.
Hyperglycémie : le sucre entraîne l'eau d'où la déshydratation, avec polyurie et polydipsie (car l'organisme demande de l'eau).
Traitement : insuline (en sous cutanée, intraveineux, au besoin en urgence à la seringue électrique) (...)
[...] Les neuropathies digestives - Anorexie - Diarrhées - Vomissements 5. Les neuropathies génito-urinaires - Impuissance - Troubles urinaires D. Le pied diabétique Il retrouve toutes les étiologies : on a un déficit sensitif et moteur qui fait que le pied se déforme et on a de nouveaux points d'appui plaie rapide car il sur les nouveaux points d'appui puis, problèmes de vascularisation liés à la plaie donc infection. Mal perforant : ulcération creusante, indolore donc à la moindre marque ou trace, protéger, soigner toute lésion même minime du pied chez le diabétique est une urgence (le patient peut perdre son pied en 418h). [...]
[...] Si le glucose ne reste pas dans les cellules apparaît une hyperglycémie et une glycosurie. Cétonurie : les cellules n'ont pas de glucose donc elles se rabattent sur les lipides et produisent des déchets : l'acétone. Hyperglycémie : le sucre entraîne l'eau d'où la déshydratation, avec polyurie et polydipsie (car l'organisme demande de l'eau). Traitement : insuline (en sous cutanée, intraveineux, au besoin en urgence à la seringue électrique). II. Complications à court terme A. L'hypoglycémie Cela signifie que la glycémie est inférieure à 0,70g par litre de sang. [...]
[...] Les cellules commencent à rejeter les corps cétoniques de l'utilisation des lipides, l'organisme arrive à compenser. Les signes sont : hyperglycémie, cétonurie, glycosurie, baisse de la réserve alcaline, pH sanguin qui se maintien jusqu'à l'arrivée dans le coma - Coma : les cellules continuent à rejeter les déchets qui sont en excès et l'organisme ne peut plus compenser acidose et cétose. Le coma calme s'installe progressivement, la personne présente une polypnée ample non évacuation des acides, signes de déshydratation avec persistance du pli cutané. L'évolution est bien souvent favorable. [...]
[...] Les complications vasculaires 1. Les microangiopathies Ceux sont de petits vaisseaux, capillaires et artérioles au niveau des yeux et des reins : la glycémie atteint la paroi et l'épaissit ce qui la fragilise et ralenti le flux sanguin ce qui engendre un passage liquidien et donc une hémorragie ou un exsudat (passage de plasma à travers la paroi). L'hyperglycémie modifie la forme des hématies qui vont avoir tendance à s'agglutiner et à rendre les plaquettes hyperadhésible ce qui peut provoquer des agrégats et ainsi des caillots et des ischémies Les rétinopathies diabétiques Seul le fond d'œil permet de voir l'atteinte des capillaires. [...]
[...] On injecte donc du glucagon (injection intramusculaire, produit qui se garde au frigo), attendre que le personne se réveille puis lui donner des sucres lents (pain Si on ne dispose pas de glucagon, SMUR qui passera du glucosé à 30% hypertonique en intraveineux (20ml ou en perfusion). Si au bout de 10 min de glucagon la personne ne revient pas à elle demander un avis médical pour une seconde injection car le glucagon est mal perçu par le foie. Faire un dossier daté et signé. Contrôler la glycémie capillaire et chercher les causes de l'hypoglycémie. [...]
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