Circulation des fluides physiologiques, Loi de Laplace, rhéologie, hémodynamique, circulation sanguine, parois vasculaires
- Molec en surfaces ne subissent pas mêmes forces de Van der Waals que celles immergées (résultante des forces nulles en profondeur, non nulle en surface car interactions liquide-gaz plus faibles.
- Pour augmenter surface de interface liquide d'une valeur dS il faut vaincre résultante des forces en fournissant au système un travail dW = y dS (y coeff de tension superficielle, dW en J ou N.m, dS en m²), égal à dES (NRJ potentielle ou dépense d'NRJ qu'il faut fournir au système)
=> plus y est élevé, plus interactions entre molec st importantes et moins le liquide est mouillant.
[...] Régime laminaire si Re [...]
[...] = Loi de Poiseuille : débit D = V moy . S = 8. [...]
[...] CIRCULATION DES FLUIDES PHYSIOLOGIQUES Propriétés des solutions aux interfaces Molec en surfaces ne subissent pas mêmes forces de Van der Waals que celles immergées (résultante des forces nulles en profondeur, non nulle en surface car interactions liquide-gaz plus faibles Pour augmenter surface de interface liquide d'une valeur dS il faut vaincre résultante des forces en fournissant au système un travail dW = γ dS (γ coeff de tension superficielle, dW en J ou N.m, dS en égal à dES (NRJ potentielle ou dépense d'NRJ qu'il faut fournir au système) plus γ est élevé, plus interactions entre molec st importantes et moins le liquide est mouillant Systèmes liquide-gaz évoluent tjrs pr minimiser leur NRJ de surface ES (min pour une sphère, pression supérieure dans partie concave, plus courbure est importante et plus pression est élevée) Loi de Laplace (expression de ΔP = Pi Pe) Une interface sphérique (tension superf diminue rayon, pression l'augmente) P = 2 R Deux interfaces sphériques (bulle savon) P = 4 R si dR négligeable devant R Coefficient de tension interfaciale : 1,2 = dE S /dS γ mais pour autres interfaces que liquide-gaz) Interface ternaire équilibre = relation d'Young (vecteurs représentant coeff tension interfaciale st tangents aux interfaces aux pts de contact leur somme est nulle à l'équilibre) 1,3 = 1,2 Mouillage d'un solide par un liquide : s , g = s , l l , g cos (α angle solide-liquide dans liquide) α > liquide non mouillant (mercure) α [...]
[...] cos Stalagtométrie = dans un compte goutte de rayon une goutte se détache qd son pds est égal aux forces de tension superficielle pour liquide parfaitement mouillant : = mg = V g 2 Loi de Jurin = mesure viscosité avec tube capillaire h = R Tension superficielle des solutions Electrolytes = γ augmente en de C car forte interaction soluté-solvant moins mouillant Solutés organiques = γ diminue en de C car faible interaction soluté-solvant plus mouillant Tensioactifs = diminution forte et non linéaire de γ en de C hypermouillant (amphiphile) Si FF0 adsorption négative Tensioactifs = F en pratique, manomètre mesure différence de pression entre les 2 tubes PT PS (pression dynamique) et permet de calculer vitesse écoulement fluide autour du tube v 2 = P T S S Fluide visqueux (réel) = frottement moléculaire, viscosité, écoulement avec dégagement de chaleur Eppression + Eppesanteur + Ec + chaleur = cste donc Bernoulli non valide Perte de charge (pression) constante par unité de longueur (Δp/ΔL=cste) dv Viscosité = force parallèle et de sens contraire au déplacement F vis = S (η coeff dz viscosité en Pa.s, dv/dz gradient de vitesse, S surface commune des 2 lames) 2 types de fluides Newtonien = s'applique bien η cste à une température donnée (diminue qd augmente) Non Newtonien = η variable selon Δv/dy, solution de macromolec (sang) v moy d D 2 régimes d'écoulement définis selon nbre de Reynolds R e = = d . [...]
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