L'appareil mandibulaire

Résumé du document

On distingue la dent elle-même qu'on appelle l'odonte et les tissus de soutien de la dent qui sont le parodonte et l'articulation qui permet la mobilité de la mandibule qui est l'articulation temporo-mandibulaire grâce à des ligaments et des muscles (...)

Extraits

[...] On voit que plus la dent assume de fonction de mastication importante et plus ses racines sont nombreuses et larges. Comment sont réparties les racines des molaires ? En ce qui concerne les molaires maxillaires, ils ont 3 racines : une racine du côté du palet qu'on appellera la racine palatine et 2 racines du côté de la joue que l'on appellera pour la plus antérieur la racine mésio vestibulaire(VM) et pour la racine la plus postérieur la racine disto vestibulaire(VD). [...]

[...] 4/Stabilité intra-arcade C'est la stabilité des dents à l'intérieur d'une même arcade. Les dents sont réparties sur 2 arcades antagonistes, le maxillaire et la mandibule mais leur répartition n'est pas anarchique, y'a des critères de stabilité au sein d'une même arcade et des critères d'équilibre inter-arcade cad entre le maxillaire et la mandibule. La stabilité de l'arcade dentaire ne sera respectée que si les dents présentent un certain alignement qui donne sa forme à l'arcade, une certaine obliquité des dents et un certain type de rapports inter-proximaux qui sont caractérisés par la situation ou leurs points de contact qui permettent la préservation du parodonte choses importantes permettent la stabilité au sein d'une même arcade : - l'alignement des dents qui donne sa forme à l'arcade - l'obliquité des dents qui permet l'articulé dentaire - Les points de contact entre les dents qui permettent la préservation du parodonte /Forme de l'arcade Au centre du l'arcade supérieure on a la langue et en périphérie de l'arcade y'a des muscles comme l'orbiculaire et le buccinateur qui permettent de maintenir la place de cette arcade dentaire. [...]

[...] Au fur et à mesure qu'on vieillit il y a égression des dents cad que les dents vont sortir de leur os, au maxillaire elles vont descendre vers le bas et à la mandibule elles vont monter vers le haut de sorte qu'une partie de la racine va devenir apparente en bouche, au fur et à mesure qu'on vieillit la partie apparente de la dent devient la couronne elle-même plus une partie de la racine: phénomène d'égression dentaire. Le collet physiologique est la limite entre la partie apparente de la dent et la partie enfouie. [...]

[...] - On parlera d'occlusion en bout à bout lorsqu'aucune des 2 arcades n'est plus large que l'autre, il n'y a pas de chevauchement des dents maxillaires sur les dents mandibulaires, l'arcade mandibulaire n'est pas emboiter par l'arcade maxillaire - On parlera d'occlusion inversée lorsque la mandibule vient circonscrire le maxillaire ce qui est anormal. L'arcade mandibulaire vient emboîter l'arcade maxillaire. Quand on ferme les dents, on doit normalement trouver une normo-occlusion qui est un emboitement de la mandibule par le maxillaire, lorsque ce n'est pas le cas on dit qu'il y'a un articulé inversée. Au niveau des dents antérieures, lorsque l'on a un articulé normal, les incisives centrales maxillaires qui viennent recouvrir les incisives centrales mandibulaires, c'est une normo-occlusion puisque le maxillaire vient enchâsser la mandibule. [...]

[...] On va parler du déterminant postérieur de l'articulé dentaire. On a vue qu'il existait une infinité de position d'occlusion entre l'arcade maxillaire et l'arcade mandibulaire. Qu'es ce que c'est que l'occlusion ? Lorsqu'il existe un contact ou plusieurs entre les dents du haut et les dents du bas on dit qu'il y'a occlusion. A partir du moment où il y'a occlusion entre les arcades dentaires, il y'a une possibilité de passage d'une occlusion a une autre occlusion c'est ce qu'on appelle l'articulé dentaire. [...]