Ce cours est un cours de remise à jour sur ce qu'est un anticorps.
On va donc rappeler ce qu'est un anticorps ; ce sont des molécules qui sont sécrétées suite à une réaction immunitaire.
L'organisme est capable de faire une réaction immunitaire suite à l'ingérence d'un corps étranger dans notre organisme.
Cette réaction immunitaire est sous deux formes :
? l'immunité cellulaire.
? l'immunité humorale (c'est-à-dire la sécrétion d'anticorps).
Pour qu'il y ait réaction immunitaire, il faut qu'il y ait ingérence dans notre organisme, c'est-à-dire il faut qu'il y ait introduction d'un antigène.
L'antigène c'est n'importe quelle substance étrangère à NOTRE organisme (même entre même espèce, entre même sexe, entre même famille...). C'est tout ce qui nous est différent, qui est du NON-SOI. Ça peut donc être toute molécule qui n'est pas produite par notre organisme (...)
[...] de ça, c'est-à-dire, le lipide qui est audessus et qui contient les anticlypans?? qui sont sécrétés, on va essayer de le tester contre notre antigène, il y a des chances que sur les lymphocytes au départ de la souris, on tombe sur l'antigène qui m'intéresse, il y a des chances car ce lymphocyte là va se retrouver en plusieurs exemplaires puisqu'il a déjà donné une production clonale, ce qui fait qu'on a plein de chance d'avoir amplifier celui-la plutôt qu'un autre. [...]
[...] Et c'est ce qui va faire la différence entre tous les anticorps, et qui va faire que chaque site sera différent et pourra reconnaître un antigène différent. Il y a trois CDR sur la chaine légère et il y a la même chose sur la partie variable de la chaine lourde, ce qui fait qu'on multiplie encore les possibilités de variabilité. Sur ce schéma, on voit la structure en mais qui est en fait sous forme de domaines, en fait le domaine variable de la chaine légère c'est 110 aa, le repliement 3D donne des feuillets plissés β, qui sont maintenus par un pont disulfure. [...]
[...] Ce lymphocyte a donc les gènes correspondant à la séquence de l'antigène. Une fois qu'il a fixé l'antigène, il va être activé et il va proliférer, c'est ce qu'on appelle une prolifération clonale, car c'est ce lymphocyte et seulement lui qui va proliférer pour donner environ 1 million de cellules filles qui ont exactement la même structure que lui à leur membrane. Et ces cellules filles vont être capables de synthétiser cette structure la, qui se mettra sous forme pentamérique pour être sécrétée, et faire des IgM. [...]
[...] Les IgM sont les premiers synthétisés dans la réponse immunitaire . Pourquoi? car comme on le voit, il y a 10 sites antigéniques différents sur un IgM, on peut donc fixer 10 Ag différents à la fois, et ainsi former des agrégats, des réseaux et c'est ce qui permet d'éliminer le plus d'antigènes rapidement. Fonctions effectrices On va donc d'abord synthétiser des IgM, puis des IgG ; si on se trouve dans des sécrétions, on va d'abord sécrété des IgM, puis des IgA. [...]
[...] Cette réaction immunitaire est sous deux formes : l'immunité cellulaire l'immunité humorale (c'est-à-dire la sécrétion d'anticorps) Pour qu'il y ait réaction immunitaire, il faut qu'il y ait ingérence dans notre organisme, c'est-à-dire il faut qu'il y ait introduction d'un antigène. L'antigène c'est n'importe quelle substance étrangère à NOTRE organisme (même entre même espèce, entre même sexe, entre même famille . C'est tout ce qui nous est différent, qui est du NON-SOI. Ça peut donc être toute molécule qui n'est pas produite par notre organisme . [...]
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