Les droites en Mathématiques (niveau sixième)

Résumé du document

Cours de Mathématiques sur la notion de droites : droites sécantes, parallèles, perpendiculaires. Les propriétés concernant les droites parallèles et les perpendiculaires sont étudiées. Méthodes de tracés de parallèles et de perpendiculaires ainsi que les figures usuelles sont présentées. De nombreuses figurent illustrent ce cours.

Extraits

[...] On appellera le premier pli : d1. On appellera le second pli : d2. On appellera le troisième pli : d3. Une fois cela réalisé, coller cette feuille sur votre cahier ( mettre de la colle que sur une partie de la feuille) Propriétés Que peut-on dire des droites d1 et d2 ? des droites d1 et d3 ? Que peut-on dire des droites d2 et d3 ? Les droites d2 et d3 sont parallèles : elles n'ont aucun point en commun. [...]

[...] Deux droites peuvent se couper en formant quatre angles égaux. On dit que ces droites sont perpendiculaires. Les angles qu'elles forment sont appelées des angles droits. Avec l'équerre, on trace une droite d1 perpendiculaire à d (n'importe laquelle). Avec l'équerre, on trace la perpendiculaire à la droite d1 qui passe par le point A. On prolonge le tracé. On nomme cette droite d'. La droite d' est parallèle à la droite d et passe par le point A. On place un côté de l'angle droit de l'équerre sur la droite de façon que l'autre côté de l'angle droit de l'équerre passe par le point A. [...]

[...] Construire une droite perpendiculaire Construire la droite d1 perpendiculaire à la droite d et passant par le point A Construire une droite parallèle Construire la droite d' parallèle à la droite d et passant par le point A Figures usuelles Remarque : donner une autre définition d'un carré en utilisant les autres définitions. Cette figure représente deux droites qui se coupent en un point. Ces deux droites ont un seul point en commun, on dit qu'elles sont sécantes. Remarque : parfois, le point d'intersection n'apparaît pas sur le dessin. Cette figure représente deux droites qui n'ont aucun point en commun. Même si on prolongeait indéfiniment leur tracé, elles ne se couperaient jamais. [...]