La mise à jour de Systèmes d’Information

Résumé du document

Les différentes étapes permettant l'évolution d'une infrastructure réseaux et systèmes, les besoins qui ont suscité cette dernière et la maintenance qui est un service souvent délaissée par des entreprises mais qui a tout son intérêt.

Extraits

[...] Il a été défini que un technicien peut passer 15 postes à la cible en un jour, paramétrer 4 switchs en un jour, mastériser un serveur en une journée et demie, ce qui permet d'évaluer le temps nécessaire au traitement d'un lycée, en fonction de l'équipement présent. La Figure 24 représente le cas d'un lycée et détaille les opérations à conduire, les évaluant à 23j/technicien. S'il y avait un technicien unique à l'oeuvre, il mettrait donc 23 jours pour compléter la mise à niveau du site. [...]

[...] La recette consiste à vérifier la conformité d'une architecture réseau et système définie lors de la phase de conception. Pour cela, une série de tests doit être opérée. Cette étape est primordiale, puisque la mise en production d'un SI dont la phase de recette n'aurait pas été entreprise pourrait entraîner des risques plus ou moins graves pour le client (dysfonctionnements logiciels, perte de données, inaccessibilité du réseau, intrusions dans le système, etc.), et donc avoir des conséquences pour le prestataire (financières, en particulier liées aux coûts de maintenance, ou autres). [...]

[...] Figure 28 : Structure d'un CMMS Lorsqu'une alerte est reçue, elle est mise en corrélation avec l'une des alertes répertoriées. S'il n'y a pas d'alerte correspondante dans la table « alertes », un nouvel exemplaire doit être créé, puis lié à une ou des tâches de la table « tâches » (si les tâches nécessaires ne s'y trouvent pas, il convient de les créer également). Idem pour les éléments d'autres tables liées. En même temps, un nouvel enregistrement est créé dans la table des missions. [...]

[...] Pour évaluer le niveau de risque du système en place par rapport à la sécurité, la disponibilité, l'uniformisation, l'adaptabilité et la performance, des matrices combinant, pour chaque risque potentiel, le niveau de probabilité et la gravité, peuvent servir à définir la configuration la plus robuste possible, dans les limites budgétaires du projet. Les données d'usage collectées font apparaître un modèle de tâches du type de celui présenté dans la Figure indiquant la capacité du système en place en termes d'activités-utilisateur. [...]

[...] Le niveau de risque calculé permet de définir un niveau de priorité ( et selon les plages de niveaux de risques rencontrés. Il est bien entendu que les actions de prévention à traiter en priorité seront celles allant de 9 à 16 puis celles allant de 4 à 6. Les situations combinant un haut degré de probabilité et de gravité y sont définies comme prioritaires, au sens que leur traitement préventif s'impose hors de toute discussion. Pour ceux qualifiés de « graves » mais relativement improbables, l'arbitrage était confié à la Région. [...]