Rapport d'analyse du projet SkyR.E.A.L (Restition of the Environment with Automatic Landcover classification)

Thèmes abordés

Rapport d'analyse, projet SkyR.E.A.L, Restition of the Environment with Automatic Landcover classification, modélisation 3D, télédétection, Ubisoft, addon, plugin BlenderGIS, OpenSource, données SRTM

Résumé du document

Le projet de développement SkyR.E.A.L (Restition of the Environment with Automatic Landcover classification) a été proposé et encadré par *** et ***, respectivement enseignant-chercheur et fonctionnaire de l'IGN. Son objectif premier est de fournir un outil intégré à un logiciel de modélisation 3D permettant d'y importer des données réelles (Modèle Numérique de Terrain et images satellites notamment) et d'y appliquer une classification du terrain en fonction des besoins de l'utilisateur. Cet outil s'appuie donc sur des techniques de télédétection pour reconnaître automatiquement la composition du territoire importé. Cette classification, couplée au MNT, conduit à la production de modèles probabilistes sous forme de cartes de chaleur. Celles-ci représentent en effet une répartition plus réaliste des différentes classes sur le MNT, en fonction des paramètres de celui-ci (pentes, altitudes, etc.).

Extraits

[...] Nous communiquerons régulièrement entre nous via Skype et avec Marc Poupée via Discord. Nous avons également prévu de respecter au maximum les créneaux initiaux (mercredi matin) pour travailler en même temps, ce qui facilite grandement la communication. De cette manière, la distance ne devrait que très légèrement affecter notre travail. De plus nous avons découpé en quatre grandes branches la partie de développement afin de paralléliser au maximum les tâches (une branche par membre du groupe). Celles-ci sont présentées par ordre de priorité. [...]

[...] Le diagramme de déploiement permet de visualiser cet enchaînement et les composants qui entrent en jeu dans sa conception. Le diagramme de déploiement a été enrichi avec certains composants afin d'offrir une meilleure visibilité de l'architecture de l'addon et des dépendances entre les différents composants. Nous avons pris le parti de représenter les API, les algorithmes de Machine Learning et l'addon comme des librairies qui seront appelées dans Blender. C'est finalement Blender qui sera responsable de l'utilisation et de l'appel des méthodes de l'addon ; c'est donc pour cette raison qu'il porte la responsabilité  executable  et que celle-ci n'est pas portée par l'addon directement. [...]

[...] Il s'agit avant tout d'un projet exploratoire. Dans la mesure où aucune commande ne concerne directement cet outil, nous ne sommes pas soumis à des contraintes particulières de performances, ou à des contraintes logicielles. Il n'existe pas non plus de solution similaire sous un autre logiciel de modélisation 3D. Seul le plugin BlenderGIS (du logiciel Blender) permet d'importer des données géographiques (SRTM et OSM). Nom et logo Nous avons retenu le nom SkyR.E.A.L pour ce projet pour de multiples raisons : le lien avec la télédétection et les images satellites est fait grâce au mot  Sky   ; l'apport de données réelles se traduit dans l'acronyme R.E.A.L, qui constitue en plus une description succincte du projet (Restition of the Environment With Automatic Landcover classification) ; c'est également une référence à titre humoristique au jeu vidéo  The Elder Scrolls : Skyrim  qui offre au joueur un monde en 3D complètement ouvert. [...]

[...] L'artiste doit pouvoir modifier le monde à sa guise et selon ses besoins par la suite. Objectif complémentaire - Solution OpenSource : dans la mesure ou aucun contrat n'a été signé avec Ubisoft nous contraignant à l'utilisation d'un logiciel et/ou sur l'exclusivité d'utilisation de l'addon. Nous avons donc sciemment choisi de produire une solution OpenSource et, dans la mesure du possible, multiplateforme. Diagramme de cas d'utilisation - Projet SkyR.E.A.L À partir de ces différents objectifs, nous avons pu dresser une liste de choses que l'utilisateur devra pouvoir faire. [...]

[...] Solution : ce risque est capital, car il nous forcerait à imaginer une nouvelle méthode de construction de nos outils. Le cas peut notamment se présenter au niveau de la méthode d'identification des polygones par l'utilisateur en fonction du résultat de la segmentation et de la façon dont sont définis les polygones en trois dimensions. Si ce risque advient, il faudra immédiatement nous réunir et se concentrer ensemble sur le problème, qui, s'il n'est pas réglé, peut bloquer toute la chaîne de traitement. [...]