Aujourd'hui, le progrès technologique est si important que tous les jours de nombreuses innovations voient le jour. C'est ainsi qu'en une décennie, nous avons troqué nos vieux bipeurs contre des PDA capables d'accéder à Internet et de visionner la télévision de n'importe où. Cette évolution est en constante accélération grâce à un concept apparu dans les années 50 : l'intelligence artificielle (IA). L'IA, ainsi appelée dans le milieu, nous permet actuellement d'automatiser un grand nombre de tâches et permettra dans les années à venir de nous assister dans nos tâches quotidiennes. Afin de remplacer l'humain, l'IA doit parfois prendre sa place, et il prend la forme d'un ensemble de neurones artificiels reliés entre eux.
Ainsi, nous nous sommes posé la question : peut-on concevoir de l'intelligence à partir d'un simple réseau de neurones ? En effet, est-il possible de créer artificiellement de l'intelligence tout en reproduisant le plus fidèlement possible l'architecture en réseaux de neurones du cerveau ?
L'Intelligence Articielle, plus communément appelé IA, est un domaine d'étude scientifique d'actualité. Les recherches dans cette discipline ont débuté dans les années 1950, malgré les déceptions suite à de nombreux investissements de l'État n'ayant pas aboutit à grand-chose, ou du moins n'ayant pas
aboutit à ce que nous en espérions, mais les recherche continuent. Il est nécessaire de préciser que plusieurs définitions de l'intelligence artificielle existent.
En revanche, le projet de l'IA est commun. Il est de créer de l'intelligence dans des machines, dans la robotique, dans des systèmes, etc. et d'affranchir
l'homme dans certaines de ses tâches, qu'elles soient répétitives, éreintantes, ou bien encore trop dangereuses. Nous pourrions prendre comme exemple
les machines à retrait automatique qui nous guident dans notre retrait et nous donnent rapidement notre argent, ou encore les robots sous-marins qui
effectuent des fouilles à plusieurs centaines voire de milliers de mètres dans les plus profonds de nos océans.
Contrairement à ce que nous pouvons penser, la vitesse d'opération logique d'un ordinateur est encore inférieure à celle de l'homme. Un ordinateur
de nos jours, peut effectuer 10(puissance)11 opérations logiques par seconde alors que le cerveau humain peut en effectuer environ 2 x 10(puissance)14. Cela rend notre intelligence supérieure à l'intelligence articielle. L'IA est partout mais nous ne la voyons pas, elle est omniprésente dans la société d'aujourd'hui et ne cesse de se développer.
[...] Tous les objets étant articiellement intelligents aujourd'hui possèdent cette IA dite faible. Elle peut être créée grâce à des algorithmes Tandis que l'intelligence articielle forte, inexistante à ce jour, vise à reproduire l'intelligence, le comportement d'un animal ou d'un humain, en reproduisant sa conscience, c'est-à-dire qu'elle soit consciente de ce qui l'entoure et d'elle-même. Elle posséderait donc toutes les propriétés de l'être humain, et pourrait réaliser des tâches sans assistance, sans suivre un algorithme simple. Ce type d'IA n'est pas réalisable aujourd'hui, et beaucoup de chercheurs et d'amateurs pensent même qu'elle ne le sera jamais. [...]
[...] Séparabilité linéaire La séparabilité linéaire consiste comme son nom l'indique à trouver un objet (une droite dans R un plan dans R un volume dans R etc.) dont l'équation est linéaire 15 capable de discriminer deux ensembles de points. Dans R il s'agit de droite D qui est la tangente de la fonction de Heaviside en et les deux ensembles qu'elle discrimine sont les sorties activées du Perceptron d'une part et les sorties non activées d'autre part. Reprenons notre graphe dont chaque axe est associé à un neurone. De cette manière, l'équation de la droite D est x1 w1 + x2 w2 + σ = 0. [...]
[...] Ils peuvent également utiliser des systèmes scientiques travaillant sur les cellules ou sur l'ADN an de retrouver l'identité d'une personne en quelques secondes si celle-ci est enregistrée dans une base de données. En réalité sans l'intelligence articielle, notre vie serait bien plus dicile car c'est grâce à elle que nous en sommes là technologiquement. Mais celle-ci à quand même ses limites, car techniquement, il nous manque des connaissances pour pouvoir avoir l'espoir de créer un jour une machine dotée d'une intelligence articielle forte. Les créations actuelles ne sont pas complètement autonomes, donc. Il faut toujours un peu les guider pour qu'elles travaillent à notre place. [...]
[...] De plus, le Perceptron peut résoudre un problème qu'il n'avait jamais rencontré auparavant en se fondant sur un problème similaire. C'est en cela que nous pouvons dire que le Percpetron et les réseaux de neurones sont une forme d'intelligence. Toutefois, un réseau de neurones doit forcément être construit par l'homme et est incapable de poser un problème lui-même. Il faut donc nuancer la notion d'intelligence Conclusion L'intelligence articielle peut prendre plusieurs formes et nous venons d'étudier l'une d'entre elles : les réseaux de neurones. Ils permettent de résoudre des problèmes de classication grâce à un apprentissage supervisé. [...]
[...] Ainsi, l'intelligence articielle reproduit certains schémas de l'intelligence humaine (algorithmes pour résoudre un problème, connexionnisme pour apprendre, etc.), et c'est en cela que nous pouvons parler intelligence articielle Toutefois, bien que cette prospérité et expansion (notamment grâce à la pluridisciplinarité récente des domaines scientiques étudient l'intelligence articielle) ne cessent de progresser, de nombreuses limites économiques, techniques, ou philosophiques freinent l'avancée scientique dans ce domaine. Les chercheurs dans l'intelligence articielle sont souvent limités par le manque de moyens nanciers car les recherches dans ce domaine sont souvent très coûteuses. Nous pouvons citer comme exemple les grands investissements de l'État dans les débuts de l'IA n'ayant pas aboutit à ce que nous pensions. Les limites sont également techniques car nous n'avons pas les moyens de doter une machine d'une intelligence comparable à celle d'un être vivant quel qu'il soit. [...]
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