Architecture des ordinateurs, cours de 60 pages
[...] Bascule RSC : circuit logique et schéma synthétique . Circuit logique de la bascule D . Bascule JK . Table de Karnaugh pour la bascule JK . Table de vérité de la bascule JK = . Bascule T . Table de vérité de la bascule T . Registres à décalage à droite et illustration de leur comportement . Schéma d'un compteur trois bits . [...]
[...] Les opérandes passent alors par un registre à décalage. overflow F IG Additionneur 4 bits Pour comparer a et on fait a b puis : CHAPITRE 3. ALGÈBRE DE BOOLE ET CIRCUITS LOGIQUES Z = 0 et S = 1 : Z = 0 et S = 0 : Z = 1 ou S = 1 : Z = 1 ou S = 0 : a=b a=b ab UAL Une UAL est une Unité Arithmétique et Logique réalisant les opérations de base : opérations logiques ou et non), opérations arithmétiques, comparaisons. [...]
[...] Problème : capacité limitée. Si le résultat de l'opération est supérieur au nombre maximum représentable overflow (dépassement de capacité). Exemple sur 4 bits : 9 + 7 = 16 qui ne peut être stocké sur 4 bits + Les jeux d'instructions processeurs proposent souvent deux types d'opérations : celles ignorant l'overflow et celles dont un overflow provoque l'exécution d'une routine particulière. Dans un langage comme le l'overflow est ignoré, en revanche le langage ADA fait appel aux instructions qui en tiennent compte. [...]
[...] On montre ainsi par récurrence que toute fonction à n variables se ramène à une expression contenant des fonctions à deux variables. On appelle groupe logique complet un ensemble de fonctions logiques à partir desquelles il est possible de réaliser toutes les fonctions logiques. Ex : ou, non}, non}, non}, {nand}, {xor, etc. Comme on peut ramener toute fonction à n variables à une expression formée exclusivement de fonctions à deux variables et des connecteurs et, ou et non, et vu que toutes les fonctions à deux variables peuvent être exprimées à l'aide de ces connecteurs, il nous suffit de montrer que l'on peut traduire ces trois connecteurs dans n'importe lequel des groupes logiques complets. [...]
[...] L'automatisation était réalisée à l'aide de roues dentées. L EIBNIZ (1646-1716) va plus loin ; il envisage qu'une machine puisse raisonner, c'est-à-dire qu'elle puisse enchaîner des propositions élémentaires pour effectuer des déductions. Pour L EIBNIZ le lien entre W et Z dans la suite si W alors X ; si X alors Y ; si Y alors Z s'impose avec un tel degré d'évidence qu'une machine devrait pouvoir le retrouver. Cela a amené L EIBNIZ à imaginer une machine à raisonner qui se calquerait sur une machine à calculer. [...]
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