Ce polycopié présente quelques notions sur les bases de données, en introduction à un cours sur le langage SQL. La première partie donne quelques généralités sur les bases de données et sur les mé- thodes de développement des applications. La complexité de la plupart des applications rend impossible l'écriture directe du code qui sera exécuté par les ordinateurs. Cette partie présente rapidement les tâches qui précèdent l'écriture de ce code. Plusieurs méthodes de développement sont utilisées par les développeurs. Elles s'appuient sur des modèles pour représenter les traitements et les données. Cette première partie présentera le modèle entité-association, utilisé par de nombreuses méthodes non orientées objet, et la notation UML, introduite pour décrire les données et les traitements des applications orientées objets
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Extraits
[...] Fig Sch ma conceptuel de type Merise PLOY qui correspond l'ensemble des employ s de l'entreprise mod lis e. La relation PARTICIPE indique qu'un employ peut participer un PROJET. Deux types de d marches sont possibles : la d marche analytique part de l'ensemble des donn es l mentaires au sens des attributs d nis en 4.1 .1 trait es par l'organisme dont on veut mod liser le syst me d'information. Ces attributs sont r unis en une relation au sens relationnel unique que l'on va d composer en la normalisant voir chapitre la d marche synth tique tudie le discours au sens large de tous les documents et informations que l'on a pu recueillir de l'utilisateur et de l'organisme pour d gager des entit s et ensuite les associations qui relient ces entit s. [...]
[...] Par exemple, dans la gure un d partement contient un certain nombre d'employ s. Une agr gation est repr sent e graphiquement par un losange vid plac au bout du trait de l'association qui est plac pr s de la classe conteneur. Dans le cas o les l ments qui sont li s au conteneur ne peuvent exister en dehors de ce conteneur, on a une composition. Dans ce cas, le losange est un losange plein et non plus vid . [...]
[...] Elle comporte deux ordres : un d bit sur un compte et un cr dit sur un autre compte. Si un probl me emp che le cr dit, le d bit doit tre annul . Une transaction est termin e : soit par une validation qui ent rine les modi cations, soit par une annulation qui remet la base dans son tat initial. Deux transactions ne peuvent imbriqu es : dans une session de travail, la transaction en cours doit se terminer avant qu'une nouvelle transaction ne puisse d marrer. [...]
[...] Analyse : elle construit un mod le de ce qu'il faudra obtenir. Elle ne d crit pas comment on obtiendra ce r sultat. Elle permet de comprendre les structures impliqu es dans l'application, les changes de donn es entre ces structures, les principaux processus li s aux actions informatiser et les objectifs pr cis atteindre. Conception : elle invente une solution pour informatiser le domaine tudi en respectant les objectifs x s. Cette tape introduit le comment, mais un niveau conceptuel, en essayant viter de faire intervenir les probl mes li s au mat riel et au syst me d'exploitation. [...]
[...] Nous montrerons au chapitre suivant comment traduire ces diagrammes de classes en un sch ma relationnel pour implanter dans une base de donn es relationnelle les donn es persistantes celles que l'on veut conserver entre deux utilisations de l'application. Dans tat actuel du march des SGBD, les donn es seront en e et le plus souvent enregistr es dans un SGBD relationnel et manipul es par le langage SQL, sp cialement adapt ce type de SGBD. Voici donc la d marche : Le d veloppement commence par la conception des diagrammes des cas d'utilisation. [...]