Dans les fiches précédentes, j'ai défini la notion d'objets géographiques qui sont représentés par des éléments graphiques indépendants dans l'espace. Cela nous permet d'appréhender la notion de données graphiques. Celles-ci sont les données renvoyant aux paramètres d'affichage des objets (type de trait, couleur...). Elles permettent donc de retranscrire l'information géographique. Une rivière sera représentée à l'aide d'un trait plus ou moins épais. C'est donc à nous géographes de faire un bon choix dans l'utilisation des données graphiques. Dans MapInfo que les données soient sous forme d'objets géoréférencés, statistiques ou sous forme d'images rasters, elles se trouvent dans des tables. Les données graphiques se trouvent donc dans des tables.
[...] A partir de ce moment, nous pouvons faire diverses manipulations pour faire apparaître des éléments graphiques, les modifier La création de ce type d'objets va donner lieu à une visualisation du point par une petite étoile noire, de la ligne par un trait fin noir et continu, et d'un polygone par une surface blanche cernée d'un trait fin noir et continu. Pour pouvoir faire apparaître des éléments graphiques, il faut les créer. Pour cela, après avoir créé une nouvelle carte il faut renseigner les champs de la structure de la future table comme ci-contre. Il faut donner un nom à nos éléments, mais aussi préciser leur type (caractère (en donner le nombre maximal), flottant ) La plupart des manipulations suivantes, se font à partir de barres, flottantes ou non. [...]
[...] Pour modifier un objet, il est nécessaire au préalable de l'avoir rendu modifiable, en allant dans contrôle des couches , et en cochant la colonne avec le crayon et la ligne appropriée à ce que l'on veut modifier (ci-dessous). Du texte peut-être ajouté, ainsi que des cadres. Si l'on veut modifier ou rajouter des éléments dans une couche, il faut aller dans le contrôle des couches, comme nous l'avons vu précédemment, et rendre modifiable cette couche. Puis il faut aller sur la couche rendue modifiable et travailler ce que l'on désire sur nos éléments. [...]
[...] http://www.sig-libre.org/files/Formationmapinfo.pdf Comme nous l'avons déjà vu dans la fiche le contrôle des couches nous amène quatre types de manipulations : La visibilité : permet de rendre visible ou invisible une couche de la carte. Il suffit d'activer ou non la colonne où est représenté un oeil. Rendre modifiable : permet de modifier les objets de la couche. Une seule table est modifiable dans une carte. Pouvoir sélectionner : permet de sélectionner ou non à l'écran Etiquetage automatique : permet d'étiqueter tous les objets de la couche. [...]
[...] Il est également possible de désagréger des éléments (Objet > Désagréger) ou de les fusionner (Objets > Assembler). Il est aussi possible de supprimer un objet, pour cela on peut tout simplement le sélectionner manuellement et l'effacer, ou, de manière plus sûre, le sélectionner dans la table de données puis le supprimer. Comme nous l'avons vu avant, il est possible de modifier les données d'une table c'est-à-dire d'ajouter et de supprimer des colonnes de données. Pour ce faire, les données peuvent être modifiées manuellement, mais il existe deux possibilités prises en charge par le logiciel : mettre à jour la colonne ou modifier la structure de la table. [...]
[...] Il possède un type différent de données graphiques, dont l'entité de base est le pixel. Les entités complexes de ce mode sont les classes. De par la définition de ce mode, MapInfo ne peut traiter des relations entre les objets, puisque ceux-ci n'existent pas. Les relations spatiales seront donc faites de manière implicite, par le biais de l'observation sans pouvoir utiliser les outils de la topologie. Finalement, la dimension thématique des différentes couches évoquées pour le mode vectoriel, s'effectue dans le mode raster, par le biais des valeurs numériques de la matrice où chaque pixel va être différemment codé. [...]
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