L'origine du monde : théorie cyclique à partir du big bang

Thèmes abordés

Univers accordéon, césium, logarithme, perception du temps, conception

Résumé du document

C'est la conception de l'univers accordéon : l'univers grandit puis se referme tout dépend de la densité de l'univers et cela pourrait recommencer. S'il y avait un avant il est rigoureusement inaccessible. Le Big Bang comme on dit en mathématique est la singularité qui est totalement inaccessible. Un des moyen de ne plus se poser la question de l'avant Big Bang est d'adopter une nouvelle échelle pour la durée. Pourquoi compter en années ? Tout d'abord au moment du Big Bang, il n'y avait même pas de terre qui tournait autour du soleil, donc que pouvait signifier une année ? Il n'y avait pas de césium, donc aucun vibration de césium, que signifie alors la seconde

Extraits

[...] J'avais alors rajouté 10% à ma vie et cela avait durée un an. Quand je suis passé de 60 à 66 ans j'ai trouvé que cela avait passé aussi vite que l'année des 10 ans ce qui est tout à fait normal puisque j'avais augmenter ma vie de 10%. Donc ce qui compte dans la perception du temps, c'est le rapport temps qui s'écoule au temps déjà écoulé. Ce qui signifie qu'on prend comme nouvelle définition de l'âge, le logarithme de la durée depuis la conception. [...]

[...] L'origine du monde : théorie cyclique à partir du big bang C'est la conception de l'univers accordéon : l'univers grandit puis se referme tout dépend de la densité de l'univers et cela pourrait recommencer. S'il y avait un avant il est rigoureusement inaccessible. Le Big Bang comme on dit en mathématique est la singularité qui est totalement inaccessible. Un des moyen de ne plus se poser la question de l'avant Big Bang est d'adopter une nouvelle échelle pour la durée. [...]

[...] Ainsi, je ne me pose plus la question de ce qu'il y avait avant. Au lycée, on m'a appris qu'on ne peut pas descendre les températures plus bas que 273°. Je m'étais dis qu'avec une petite découverte technique, on descendrait jusqu'à 274°. Evidemment, j'avais tord 'est impossible. Mais je n'aurais pas posé une question aussi bête si l'on avais non pas calculé la température absolue, mais le logarithme de la température absolue. On m'aurait répondu que cela pouvait aller jusqu'à l'infini et j'aurais été content. [...]