Depuis toujours le monde connaît le diamant comme un symbole d'amour et de richesse. Son histoire a commencé en Grèce Antique. En effet, le mot diamant vient du mot grec « adamas » qui veut dire indomptable. Les scientifiques croient que le terme a été utilisé par les Grecs pour d'écrire n'importe quelle pierre dure. La première référence spécifique fut dans la littérature romaine du 1er siècle avant Jésus-Christ, et ces diamants proviendraient d'Inde. A la fin du 18ème siècle, Antoine Laurent de Lavoisier découvre que le diamant est une forme cristalline du carbone. En 1726, des diamants sont découverts au Brésil et quelques temps plus tard en Afrique du Sud, pays qui en est devenu le principal pays producteur. Aujourd'hui, l'homme tente de reproduire les diamants formés par la nature et nous allons par ailleurs nous demander comment l'homme, par des moyens techniques, tente de copier les diamants (...)
[...] Les rayonnements Ultra Violets sont utilisés pour analyser les gemmes et/ou distinguer des pierres semblables. Une simple différence de poids est aussi dans notre cas un bon moyen de différenciation. En effet, si l'on plonge les deux pierres dans de l'iodure de méthylènes, on constatera que la vraie pierre coule alors que l'autre non. Lorsque l'on observe la moissanite à l'aide d'une binoculaire, on peut remarquer qu'elle comprend souvent des inclusions de soie. Dans certains spécimens, des inclusions de cristaux bruns ou jaunes sont visibles, elles peuvent même émerger à la surface de la pierre. [...]
[...] Les imitations : Si l'homme produit des diamants de synthèse, il a trouvé d'autres moyens de copier la nature, mais cette fois-ci d'une manière moins poussée. En effet, une imitation du diamant est uniquement une pierre qui ressemble énormément au diamant par son aspect et sa couleur, mais qui n'en présente pas les mêmes caractéristiques physiques ni optiques, ou très peu. Nous verrons dans les lignes suivantes, que ces imitations peuvent aussi bien être des pierres synthétiques que des pierres assemblées. [...]
[...] Nous avons aussi du nous informer sur les volcans diamantifères, et avons donc emprunté un livre parlant de cela, nos manuels scolaires nous ayant peu aidé. Pour l'organisation de notre travail, afin de mieux comprendre l'intégralité de notre TPE, nous avions décidé de ne pas nous partager le travail, de travailler tous ensemble sur chacune des parties. Je pense que nous avons eu là une bonne idée, même si nous avons du passé plus de temps sur notre travail que la majorité des autres groupes. [...]
[...] Le dynamisme éruptif des kimberlites est extrêmement explosif. La vitesse de montée de la lave est de plusieurs dizaines de km/h en profondeur et la lave arrive en surface à une vitesse supérieure à la vitesse du son (c'est-à-dire supérieur à 340 m/s). C'est ce type de volcans qui permettent qui permettent de remonter les diamants à la surface, car cette vitesse très élevée entraîne une décompression et un refroidissement extrêmement rapides des cristaux et évite donc la transformation en graphite. [...]
[...] Cependant, nous avons tout de même continué nos recherches de sujet et nous nous sommes arrêtés sur les arômes et plus précisément sur la lavande. Après la recherche de quelques documents, nous nous sommes rendus compte que les informations sur cet arôme étaient très faciles à trouver et que le sujet la n'était pas très original d'autant plus qu'il figure en tant que TP dans le programmes de seconde. Etant donné que nous voulions un sujet original, Lucille nous a proposé de traiter les diamants. [...]
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