Quatre caractéristiques fondamentales de la Terre
Planète tellurique : enveloppe rocheuse solide distingué des planètes gazeuses (Saturne, Jupiter)
- La Terre possède et entretient une chaleur interne par sa radioactivité naturelle. Chaleur interne à l'origine de mouvements profonds qui vont se traduire à la surface de la Terre par l'ensemble des phénomènes tectoniques (séisme, volcans, soulèvement montagneux, failles, plissement, déplacement des plaques...).
- La température de surface moyenne qui permet à l'eau de s'y trouver à l'état liquide, gazeux et solide permettant la mise en place du cycle de l'eau ce qui permet des processus d'érosion, de transports (de sédiments) et de dépôts (+ formation de roches).
- Protégé par son champ magnétique mais aussi son atmosphère riche en oxygène et en gaz à effet de serre. Plus une couche d'ozone qui lui permet la vie à la surface.
- Permet la vie sous une multitude de formes.
(...) La Terre est constituée d'enveloppes concentriques qui sont de moins en moins denses au fur et à mesure que l'on s'éloigne du centre de la Terre.
Le noyau, d'un rayon de 3486 km, il se compose de deux sous parties : le coeur ou noyau interne ou encore la graine solide. Cette graine solide se situe en moyenne à 6370 km, c'est donc une partie solide constituée à 75% de fer.
Autour de ce noyau interne, on trouve le noyau externe, qui lui est liquide et qui est fortement constitué de fer aussi.
Autour de cet ensemble qui forme le noyau, on trouve le manteau. La base de ce manteau est à 2900 km de profondeur à partir de la surface de la Terre. Ce manteau est composé tout d'abord d'un manteau inférieur qui est rigide, très épais, environ 2900 km d'épaisseur.
Au dessus de lui on trouve le manteau supérieur, beaucoup plus fin, sa base se trouve à environ 700 km de profondeur. Le manteau supérieur n'est pas une couche homogène, il est plus ou moins visqueux. Dans ce manteau supérieur, la couche principale est ce que l'on appelle l'asthénosphère. Cette asthénosphère se situe environ entre 100 et 300 km de profondeur. Elle n'est pas du tout homogène, elle peut sortir à la surface de la Terre par l'intermédiaire d'une éruption volcanique (...)
[...] La lithosphère peut être modifiée selon les mouvements de l'asthénosphère. 2-Les plaques lithosphériques et leurs mouvements : 2-1 : Les différentes plaques La lithosphère qui supporte la croûte continentale et océanique, est découpée en unité ou en plaque. Et ces plaques sont limitées soit par des discontinuités soit véritablement par des ruptures. La taille des plaques est très variable. Et les limites entre les plaques correspondent souvent à des fosses océaniques profondes soit à des dorsales médio-océaniques. La lithosphère se présente donc comme une mosaïque avec 12 grandes plaques principales. [...]
[...] On y trouve donc que la croûte continentale. Les autres sont des plaques mixtes. Les plaques ne correspondent en rien avec la répartition des continents à la surface de la Terre. Les mouvements verticaux Les plaques de la lithosphère vont s'enfoncer plus ou moins dans l'asthénosphère (visqueuse) selon sa densité et son poids ( Equilibre isostatique. Quand une plaque lithosphère est surchargée, soit par des sédiments, soit par des couches de glaces, elle va s'enfoncer loin dans l'asthénosphère. Par conséquent, les régions montagneuses ou encore les volcans vont entraîner la déformation en creux de l'asthénosphère. [...]
[...] L'océan Thétys, qui se situe entre l'Ourasie (Europe, Asie sans l'inde, mais avec l'Amérique du nord. Au jurassique, une grande rupture a lieu, et l'océan atlantique commence à se former. A cette époque l'Inde va se détacher de l'Afrique et va migrer vers le nord. Le Crétacé : Il y a environ 100 millions d'années, le bongwana va à son tour se disloquer, permettant la séparation avec l'Amérique du Sud et du coup l'apparition de l'océan atlantique sud. Séparation du bloc Antarctique- Australie. [...]
[...] Il n'y pas de relations entre ce contact et une limite de plaque ? Dans le système des marges passives, des plaques s'écartent AU LARGE des continents. Cet écartement s'appelle une Divergence. Cette divergence créée un mouvement de distension ce qui créé une rupture. Cette rupture s'appelle un rift. Ce rift va faire naître la création d'un bassin océanique. On va ensuite assister à un processus continu de création de la croûte océanique, c'est le processus de l'accrétion dans les dorsales. [...]
[...] L'ampleur et la vitesse de ses mouvements verticaux sont très variables. Par exemple depuis la dernière des glaciations, il y a 2000 ans, la Scandinavie remonte encore d'environ 1cm/an. D'autres régions par exemple qui s'étaient relevée durant la dernière glaciation par compensation isostatique. Elle se trouve aujourd'hui en déséquilibre, et ont tendance à s'enfoncer dans l'asthénosphère, elles sont dites subsidentes. 2-3 La Théorie des déplacements de plaques : Toutes les plaques sont donc mobiles verticalement et horizontalement. Leur déplacement est différent en orientation et en vitesse. [...]
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