Les roches volcaniques sont souvent liées à la présence de fracturations de l'écorce terrestre (faille bordière de la Limagne et alignement des volcans de la chaîne des Puys)
Ce sont des roches d'origine interne (roches endogènes) mais elles apparaissent en surface sous la forme d'épanchements. On les appelle roches magmatiques effusives (...)
[...] Ce type de métamorphisme ne concerne que des espaces bien localisés. Il se marque dans la topographie par une mise en relief des cornéennes car ces roches sont très résistantes, souvent plus résistantes que les roches environnantes Le métamorphisme général ou régional : exemples régionaux 1. Région de Saint Girons Le massif représenté sur la carte montre : - un pluton granitique intrusif avec son auréole métamorphique de contact ; - des pointements granitiques associés à d'autres roches cristallines : des migmatites, des gneiss et des micaschistes. [...]
[...] Dans le cas des grès les éléments détritiques sont des grains de quartz emballés dans un ciment dont la composition chimique varie. (Lorsque les grains sont des feldspaths on a des arkoses). Les argiles sont des roches composées de particules inférieures à 2 µ. Si un massif calcaire est soumis à une érosion à dominante mécanique, les dépôts qui se forment vont donner des calcaires détritiques, par exemple des conglomérats calcaires, des grès calcaires etc. L'analyse des roches détritiques renseigne sur la nature des terres émergées dont l'érosion est à l'origine des dépôts. [...]
[...] schéma sur l'origine de la foliation Quelles sont ces contraintes ? En France on peut constater que les régions marquées par le métamorphisme général sont géographiquement liées aux chaînes de montagne anciennes - chaînes précambriennes, hercyniennes aujourd'hui aplanies (Massif Central, Armoricain, Vosges) ou récentes mais dans ces dernières le métamorphisme ne concerne que les parties les plus centrales et les plus internes (c'est-à-dire les zones les plus intensément déformées) : Alpes et Pyrénées. Les régions comme le bassin parisien ou le bassin aquitain ne sont pas affectées par le métamorphisme. [...]
[...] Pas de cristaux visibles. Au microscope des petits cristaux apparaissent et on observe que la direction privilégiée de la roche est cette fois oblique par rapport au litage (schistosité métamorphique). La cornéenne est massive, très dure et de couleur grise. Pas de schistosité mais présence de cristaux. L'observation microscopique confirme l'absence d'orientation privilégiée et une bonne cristallisation. Des minéraux qui n'étaient pas présents dans la roche sédimentaire apparaissent. Bilan de l'observation : sur le terrain quand on se rapproche du granite : - la cristallisation est de plus en plus marquée, - le litage tend à s'estomper, disparaît, puis c'est la schistosité qui apparaît, - de nouveaux minéraux apparaissent. [...]
[...] La vitesse de cristallisation est directement liée à la vitesse de refroidissement du magma. Dans le cas d'une cristallisation lente la structure est grenue et si elle est raide la structure est microlitique. Dans le cas du basalte et du granite il y a à la fois une différence chimique (les deux roches sont issus de magmas ayant des compositions différentes) et une différence liée au mode de mise en place. Tableau des roches magmatiques Les processus de différenciation des magmas et le problème de l'origine des granites La composition chimique d'un magma évolue au fur et à mesure qu'il refroidit. [...]
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