TP Fraisage traditionnel

Thèmes abordés

Électronique, fraisage traditionnel, montage de l'outil, affichage des paramètres de coupe, montage de la pièce, réglage de la cote à fabriquer, contrôler le brut

Résumé du document

Première chose à faire : contrôler si le brut est bon avec un pied à coulisse.
Montage de l'outil : pour une surface de 40 cm de largeur à usiner, on utilise une fraise de diamètre supérieur à 40 cm (à vérifier avec le pied à coulisse), pour éviter de passer deux fois ou plus sur la surface à usiner. Après avoir choisi et mesuré un outil de 45 cm de diamètre, on s'assure :
- De la propreté des surfaces au contact.
- De la position de l'outil par rapport aux lardons du nez de broche.
- De l'engagement suffisant du tirant dans le porte-outil (L>2D).
- De la qualité du couple de serrage.

Extraits

[...] Pour cela on utilise des cales qui font office d'appui plan : Réglage de la cote à fabriquer : Tout d'abord, on tangente l'outil à la pièce grâce à deux méthodes : Méthode 1 : (réglage statique) : on descend l'outil sans mouvement de rotation selon Z jusqu'à ne plus pouvoir faire passer une feuille de papier, qui a une épaisseur d'environ 1/10ème de mm. On ajoutera l'épaisseur de la feuille à la profondeur de passe totale. Cette méthode n'est plus d'actualité et sera remplacée par la méthode 2 : Méthode 2 : (réglage dynamique) : on descend l'outil en rotation selon Z jusqu'à laisser une trace sur la pièce. Puis on met la valeur de la position de l'outil selon l'axe Z à 0. [...]

[...] Phase 50-60 : On va cette fois si réaliser un surfaçage par fraisage en roulant et non plus bout avec une fraise deux taille en ARS Ø30mm. On calcule les paramètres de mise en œuvre grâce aux paramètres de coupes indiqués : D'après le contrat de phase, la vitesse de coupe est de 20 m/min. Sachant que le diamètre de l'outil fait =30 cm, on en déduit la vitesse de rotation théorique : Connaissant l'avance par dent , on en déduit l'avance théorique : Dans notre cas, on choisira qui est la valeur la plus proche de notre N théorique. [...]

[...] On se dégage selon l'axe X. Connaissant la côté du brut (29,6 et la côte à fabriquer ( mm soit une côte moyenne de 28,5 on a alors une profondeur de passe ap de 1,1 mm. Or le cahier des charges indique ap = 1 mm maxi. On usine donc cette surface en deux fois : on usine en translatant selon z de 0,6 mm, puis on remet à 0 l'axe des Z et on usine une deuxième fois en translatant selon z de 0,5 mm. [...]

[...] De même, on choisira qui est la valeur la plus proche de notre théorique Durant ces deux phases on ne réalisera aucune côte fabriquée, on blanchira juste les surfaces. Il faut donc réaliser un zéro sur l'axe des x en venant tangenter le bord de la pièce avec le côté de la fraise. On s'assure du respect des dimensions réalisées grâce au pied à coulisse, puis on démonte, range et nettoie l'outillage et la machine. [...]

[...] Sachant que le diamètre de l'outil fait =45 cm, on en déduit la vitesse de rotation théorique : Connaissant l'avance par dent , on en déduit l'avance théorique : La machine dispose de deux tableaux avec des manettes permettant de régler et aux valeurs indiquées par le tableau. Dans notre cas, on choisira qui est la valeur la plus proche de notre N théorique. De même, on choisira qui est la valeur la plus proche de notre théorique On positionne les manettes selon les schémas indiqués dans le tableau. [...]