École d'ingénieurs, amplificateur, courant d'entrée, courant de sortie, théorème de Millman, démodulateur, tension, diode, résistance, couplage, circuit électronique
Nos amplificateurs opérationnels (AOP) sont supposés idéaux, cela implique que l'impédance d'entrée vaut "?" et l'impédance de sortie vaut 0. Ainsi, les courants d'entrées i+ et i? valent 0. De plus, les sorties des AOP sont reliées à leurs entrées négatives qui fonctionnent, donc, en régime linéaire. Par conséquence, les tensions aux entrées des AOP sont égales l'une à l'autre (V? = V+ = 0 si l'une des deux tensions est branchée à une masse).
Pour déterminer les tensions S1 et S2, nous allons utiliser le théorème de Millman à l'entrée négative du premier AOP (U1).
[...] Néanmoins, on peut observer un signal quasi-continue pour des hautes fréquences > 2.06 Hz). Cela s'explique par un le fait que nous avons dépassé la vitesse de variation maximale de l'amplificateur pour qu'on puisse observer le basculement entre les deux régimes, on nomme cette vitesse, la vitesse de balayage. [...]
[...] Compte rendu de projet électronique Sommaire 1 Partie théorique 1.1 Partie I Etude du sous-bloc I Etude du sous-bloc I Etude du bloc I complet "au repos" Etude « en dynamique » à SBF sinusoïdal Partie II Etude du démodulateur de fréquence : bloc II 1.2.2 Couplage Démodulation d'amplitude Partie Pratique 2.1 Etude du sous-bloc I Etude du sous-bloc I Partie théorique Partie I Etude du sous-bloc I.1 Nos amplificateurs opérationnels (AOP) sont supposés idéaux, cela implique que l'impédance d'entrée vaut "∞" et l'impédance de sortie vaut 0. Ainsi, les courants d'entrées et i− valent 0. De plus, les sorties des AOP sont reliées à leurs entrées négatives qui fonctionnent, donc, en régime linéaire. Par conséquence, les tensions aux entrées des AOP sont égales l'une à l'autre (V− = = 0 si l'une des deux tensions est branché à une masse). Pour déterminer les tensions S1 et S nous allons utiliser le théorème de Millman à l'entrée négative du premier AOP (U1). [...]
[...] D décroît pour tendre −kVcc . La tension de sortie de U3 bascule −Vcc à Vcc . Cet instant est noté t Et, ainsi de suite. On peut écrire l'expression de la tension entre les instants t1 et t2 qui est de la forme : = − t Ae RC0 + B avec A et B des constantes réelles. Nous allons étudier les cas où t = 0 et t pour calculer A et B. [...]
[...] Et, SF M = SF M cos(2π(F0 + αSBF Lorsque le signal SBF est maximal, on a la fonction cosinus qui vaut 1 soit T2πt = 2πk où k BF est un entier relatif −→ t = TBF + 2πk. Ainsi, on a Fi = F0 + αSBF = F2 (on se réfère ici à la figure 4 de l'énoncé). Le signal SBF atteint son minimal quand Fi = F0 − αSBF = F Ici, la fonction cosinus doit être = + 2k) −→ t = TBF égale à soit T2πt 2 + 2πk. [...]
[...] Néanmoins, ils restent proches des résultats attendus. Nous avons voulu représenter les deux courbes sur une même image mais en l'indisponibilité de câbles coaxiaux a rendu cela impossible. Les allures des courbes semblent similaires à ce que la théorie révèle. Les allures des courbes S1 et S2 embrassent l'enveloppe des 15V Figure 1 – Allure de la courbe S Figure 2 – Allure de la courbe S2 Etude du sous-bloc I.2 Nous avons R4 = 150kΩ et R4 = 18kΩ. [...]
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