La mondialisation est un phénomène que l'on remarque de plus en plus dans la société actuelle. Cela se ressent dans le mode de consommation, ou encore dans l'augmentation du commerce mondial ; de ce fait ces échanges entraînent une complexité qu'il est important de savoir gérer.
Pour maîtriser correctement ces flux, il convient d'adopter des standards afin de faciliter la diffusion des produits participants à cet échange mondial. La langue n'est pas une norme et ne permet un traitement des informations suffisamment rapide, fiable et universel.
Au cours du XXe siècle, de nombreux standards ont vu le jour. Dans le cas de l'échange de poduits, l'identification normalisée de celui-ci est rimordiale. C'est dans ce but qu'est né le code
barres. le code à barres permet l'identification individuelle d'objets de manière rapide et peu
coûteuse. Ainsi les échanges mondiaux se sont accrus. A l'heure du tout numérique, ce code doit faire face à un autre système tout aussi révolutionnaire : le tag RFID.
Il s'agit d'un système électronique permettant l'identification d'un produit par radiofréquences
(RF). L'évolution majeure est l'absence de contact physique ou visuel de l'objet et le traitement simultané d'un ensemble de marchandise.
Pour comprendre ce système il convient d'établir un état des lieux des différentes technologies d'identification existantes. Il est important ensuite de définir le mode de fonctionnement de la RFID et son champ d'action.
[...] Cependant ce dernier est plus coûteux à mettre en place. Cette application nécessite cependant la mise en place d'un système d'automatisation et des logiciels adéquats. Mais il faut savoir que cela représente un investissement intéressant qu'il convient à l'entreprise d'évaluer. En effet, comme mentionnée précédemment, l'implantation d'un code barre ne coûte presque rien à la production puisqu'il suffit de l'imprimer sur l'emballage. Ou alors, bien qu'il existe certains systèmes sophistiqués, une simple impression sur une étiquette adhésive peut s'avérer suffisante pour marquer sa marchandise. [...]
[...] Les puces dites passives agissent comme un ensemble de fusibles permettant de stocker des informations en mémoire. Cette version de cartes à puces a été abandonnée au profit des puces dites actives comprenant un microprocesseur, permettant ainsi d'utiliser des fonctions plus élaborées. Grâce à ces puces il est possible de stocker environ 512 kilo octets. Toutefois avec les nouvelles technologies notamment la technologie des mémoires Flash, il est désormais possible de stocker plusieurs méga octets pour une puce de même dimension. [...]
[...] En France chats et chiens sont porteurs d'une puce électronique. Depuis le vote de l'article L 214-5 du code rural, ces animaux domestiques peuvent se faire implanter une puce de la taille d'un grain de riz au niveau de l'oreille gauche. Cela ne remplace cependant pas encore complètement le tatouage classique à l'intérieur de l'oreille. Le code de la puce électronique est composé de quinze chiffres : les trois premiers sont le code du pays, les deux chiffres suivants identifient l'espèce, les deux suivants identifient le fabricant de la puce et les huit derniers chiffres correspondent au numéro d'ordre spécifique à l'animal dans le fichier national. [...]
[...] Il s'agit d'une 11/24 Projet de Sciences de l'Ingénieur ESIGELEC 2006/2007 La technologie RFID Rémy Dispagne Pierre Dubois Jérôme Tamarelle interconnexion de systèmes informatiques tels que des ordinateurs, des serveurs ou des bases de données qui permettent de véhiculer, de traiter et de stocker les données acquises au moyen des bases réceptrices. L'étude du principe technologique des tags RFID passera ainsi par ces trois points. Avant de débuter, il faut savoir que la technologie RFID est très réglementée par toutes sortes de standardisations ISO. Toutefois pour des raisons économiques évidentes, certains constructeurs en tiennent peu ou pas compte. Technologie des tags Le tag RFID est la partie du système qui est rattachée au produit ou à l'objet à identifier. Elle se présente sous différentes formes selon l'usage et l'objet. [...]
[...] Les puces RFID ont aussi d'autres applications telles que le contrôle de la chaîne du froid. En utilisant le procédé "écriture" en plus de celui de "lecture", il est possible d'enregistrer les conditions de conservation d'un produit périssable par exemple. Ainsi, l'utilisation d'un tag actif permet de mémoriser si le produit a bien été soumis aux conditions de température prescrites par les normes d'hygiène. Ainsi la découverte récente en janvier 2007 de 110 tonnes de viande avariée a relancé le débat à propos de l'intérêt de l'utilisation des puces pour le suivi des denrées alimentaires. [...]
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